Y aurait-il moyen de donner suite à la suggestion faite de réler ela en collaboratoin avec Julien lapierre, SVP... Nous pourrions nous servir de la page FB pour faire des appels à des collaborations. 

Quel serait le moyen orthodoxe selon michael lessard d,initier la convocatoin d'une Assemble.é générale spéciale pour le 1er décembre d'Occupons Québec?

Il y a des décision à prendre et une réorganisation à faire en mode simple et efficace. certains souhaitent-ils  que OQ demeure désorganisé et atomisé? D'autres pensent que le mouvementdes indignéEs a fait son temps. ce n,est pas el cas àl,Internationale, pourquoi pas au local? il serait intéresaant d,en discuter ouvertement et de prendre par consensus les dispositions appropriées. Pour un, je désire que OQ s'avère un leadership collectif: unpouvoir citoyen partagé non seulement d'indignation, mais encore d,engagement avec par et pour toutes les forces vievs de la démocratie en action.

Pour ces raisons, que ce soit l'intégration d'OQ avec sa dynamique propre au RFSQCA, ou sa dissoution pour mettre de l'énergie dans l,organisation du RFSQCA lui-même  qui semble-t-il laisse à désirer également, un certain ressaissiseeemnt sera salutaire.  à preuve, l,équipe de cordination n'était pas toute au courant encore ce matin  de la tenue du Forum Social de Laval du 16 au 18 novembre...  IL faudrait faire en sorte que des opportunités de renforceent de la militance citoyenne ne soient plus avant loupées.

UIN partenariat structurant avec la Corporation de développement communautaire locale est un gain réalisé par el FS de laval duquel il y aurait lieu de s'inspirer, par exemple.

Merci d'avoir déposé un article intitulé Forum social de Laval 2012: un vent d’espoir au cœur de novembre 

Retour sur l'événement, par Anne-Julie Poirier, conseillère en développement coopératif, CDR Québec-Appalaches (source).

« Le mouvement coopératif est convaincu qu'il apporte une contribution significative à la construction d'un monde meilleur et permettra d'établir des stratégies pour accroître cette contribution » a affirmé Dame Pauline Green, présidente de l'Alliance coopérative internationale (ACI), lors de son discours de lancement du Sommet International des coopératives. Ce Sommet tenu dans le cadre de 2012, année internationale des coopératives a eu lieu du 8 au 11 octobre à Québec et à Lévis. Il a accueilli près de 3 000 dirigeants, délégués, acteurs et chercheurs du monde coopératif ayant répondu à l'invitation de trois hôtes : le Mouvement Desjardins, l'ACI et l'Université Ste-Mary's (Halifax, Nouvelle-Écosse).

Ce Sommet avait pour but de réunir les coopérateurs de partout dans le monde et de faire de l'événement un lieu de dialogue, de présentation d'études et d'ouvrages inédits sur les coopératives ainsi qu'être un lieu de réflexion sur les grands enjeux des coopératives. Chacune des trois journées du Sommet était organisée selon un grand thème, soit 1) l'importance, la force et la pertinence du réseau coopératif dans le contexte socio-économique actuel, 2) la performance et l'évolution du modèle coopératif, et 3) l'influence sociopolitique des coopératives.

Les journées ont été riches en contenu de par les présentations d'études inédites et études de cas portant sur les coopératives. Les études ont été réalisées par des groupes de recherche aussi renommés que Deloitte & McKinsey. L'abondance et la qualité des interventions était de mise également de par des conférences d'experts de renoms et plusieurs forums sectoriels dans des domaines aussi diversifiés que les coopératives agricoles, la production et le travail, les services à la personne et à la population, la consommation, les coopératives financières, l'assurance, la gouvernance, l'innovation, les valeurs coopératives dans les pratiques de gestion, la gestion de la performance, et bien d'autres.

Les différentes interventions au Sommet ont permis de mettre en lumière certains défis qui attendent les coopératives, comme la nécessité d'accroître le portefeuille, l'effort de communication à réaliser pour changer la perception sur les coopératives et l'intégration des pays émergents. Les coopératives devront également travailler à être aussi performantes et efficaces que les entreprises traditionnelles si elles veulent être compétitives et cela, en préservant leur mission et les valeurs coopératives. De ce fait, les coopératives devront apprendre à tirer avantage de certaines opportunités comme leur durabilité et leur viabilité à long terme, leur caractère inclusif et accessible à tous ainsi que les valeurs qu'elles véhiculent et qui sont chères à plusieurs.

La Sommet s'est conclu par la signature d'une déclaration des participants relatant les faits saillants, enjeux, défis et aspirations pour le monde coopératif. Mme Monique Leroux, présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, en a profité pour annoncer sa volonté de réunir, sur une base plus régulière, les leaders coopératifs en lançant une invitation pour une deuxième édition du Sommet International des coopératives en 2014.

Parallèlement au Sommet se sont tenues plusieurs activités complémentaires rassemblant autour d'un même but des coopérateurs de mêmes secteurs ou de mêmes intérêts. Ainsi, le Sommet fut précédé du Forum coopératif et mutualiste, organisé par le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM), qui avait pour but de rassembler les conclusions et exemples coopératifs retenus lors des différents forums régionaux tenus dans le cadre de l'année 2012. S'est également tenu en marge du Sommet le programme Jeune leaders coopératifs qui a permis à plus de 200 jeunes coopérants de plusieurs continents de se réunir et de discuter d'enjeux propres à leur génération.

La CDR Québec-Appalaches au Sommet international des coopératives

Pour sa part, la CDR Québec-Appalaches a été bien représentée tout au long du Sommet International des coopératives. En effet, la présidente et le directeur général ont tous deux assisté aux activités du Sommet, en plus des deux conseillères en développement coopératif qui ont pu bénéficier d'un appel de candidatures du CQCM et du Secrétariat à la jeunesse dans le cadre du programme Jeunes leaders coopératifs.

Par ailleurs, plusieurs coopératives du territoire étaient présentes à cet événement d'envergure et ont profité de l'occasion pour favoriser la participation de leurs membres, administrateurs et/ou dirigeants alors que d'autres ont eu la chance de se faire connaître davantage ; en voici quelques exemples. Tel que mentionné dans une édition antérieure du CoopInter, la Coopérative des consommateurs de Ste-Foy a profité de l'occasion pour lancer son livre « Il était une fois... ma coopérative » relatant les faits saillants des 35 ans de vie de la coopérative. Jessica Provencher, responsable de la vie coopérative et du développement durable à la Barberie, a participé au déjeuner des jeunes leaders du 10 octobre à titre de conférencière ainsi qu'au Forum sectoriel sur la gestion de la performance dans un contexte coopératif, également en tant que panéliste. Aussi, les Presses du Fleuve, entreprise détenue en partie par une coopérative de travailleurs actionnaire (CTA), s'est fait voir en imprimant le journal du Sommet, publié à chaque jour. Sans oublier de mentionner la participation de plusieurs membres et administrateurs des coopératives membres de la CDR Québec-Appalaches.

- Par Anne-Julie Poirier, conseillère en développement coopératif, CDR Québec-Appalaches

Cet organisme est franchement très intéressant!

Bonjour!  Suite a ma candidature pour la Coalition pour la Constituante (Beauce-Nord), j en suis venue a la conclusion que la seule facon de redonner vie a la démocratie est d encourager de véritables citoyens a se présenter aux prochaines élections provinciales.  Et ce, en grand nombre.  Que 20,000 citoyens (175 a 200 par circonscription) se présentent comme candidats indépendants et nous vivrons une révolution démocratique par les urnes (non par les armes ou les larmes).  Il faut mettre au rancart la partisanerie des partis qui divise le peuple. Les partis se comportant comme des sectes ayant a leur tete des gourous et reléguant au role d adeptes leurs partisans!  Nous, les citoyens devons reprendre le pouvoir que nous laissons depuis trop longtemps entre les mains de ceux et celles qui n ont aucun intéret a nous le remettre.   Pour me contacter : (418) 932-2425     Au plaisir           Danielle Favreau