Une Motion sera votée vers 10h à l'Assemblée Nationale, en soirée les arméniens de Québec ainsi que leurs amis québécois se rassembleront devant la Statue du Révérend Père Komitas, rue d'Auteuil, Allée des poètes, vers 18h. Ceux qui le désirent pourront par la suite se rencontrer au café Le Paillard sur la rue Saint-Jean.

Article parue dans nouvelles d'Arménie en ligne.

Le bureau de la Cause arménienne du Canada (ANCC) a présenté la liste des actions planifiées à l'occasion du 98e anniversaire du génocide arménien au cours de la semaine. Des cérémonies et manifestations commémoratives se dérouleront dans huit villes du Canada. Elles auront lieu à Montréal, Laval, Ottawa, Toronto, Cambridge, Hamilton, Saint Katarina et Vancouver. Le docteur Jiraïr Basmadjian le président de l'ANCC a affirmé la détermination de son organisation de commémorer le 24 Avril en compagnie de la communauté arménienne du Canada.

Krikor Amirzayan

Listes des commémorations dans plusieurs villes au Québec (Montréal & Laval) et au Canada

Le samedi 27 avril 2013 se tiendra à Hôtel de ville de Saint-Casimir le lancement du livre La permaculture, une brève introduction publié aux Éditions Écosociété et traduit de l'anglais par Stéphane Groleau (Permaculture a beginner's guide de l'auteur Graham Burnett). Le lancement s'insère dans la programmation du 10e Festival de films de Portneuf sur l'environnement et se déroulera dans le cadre d'un 5 à 7 suivant la projection-rencontre du documentaire Le cosaque et la gitane de Nadine Beaudet.

Le livre traduit par Stéphane présente de manière succincte et imagée les principes de base de la permaculture. Qu'est-ce que la permaculture ? À la fois une philosophie et une approche de travail, elle propose diverses stratégies pour repenser nos sociétés, nos habitations et nos systèmes agricoles afin de réduire notre impact sur la planète, favoriser la biodiversité et assurer un avenir aux générations futures.

Au cours de son allocution, Stéphane Groleau présentera brièvement le contenu de son livre et illustrera quelques principes de la permaculture.

Il me semble bien irrationnel de notre part, collectivement, de ne parler que de Limoilou.

Les médias parlent de Limoilou parce que la poussière rouge était bien visible, tenace et persistante, ce qui a poussé des citoyens et citoyennes de Limoiou à mener un véritable combat en brassant bien des fonctionnaires silencieux. Sauf que partout ailleurs autour du port, ces minéraux voyagent certainement aux quatre vents. Cela ne concerne donc pas uniquement le secteur de Limoilou, mais bien plus largement.

Il est fort probable que la densité de la pollution soit moins pire ailleurs, mais le problème demeure. Espérons que la « solution » qui sera appliquée va réellement rendre ce type de transport plus efficace ou plus étanche (ce qui avantage même les entreprises, car c'est du gaspillage).

- Michaël Lessard

Ce génocide est devenu le symbole des luttes difficiles pour faire reconnaître des crimes contre l'humanité quand les «vainqueurs» refusent ou nient les faits. Le Québec a reconnu officiellement ce génocide il y a seulement quelques années (en 2003: voir ici).

À l'origine, une des histoires connues et réelles, est celle d'un soldat allemand qui prie secrètement des photos, les cacha dans sa ceinture, puis les transmises à la Société des Nations (l'ancêtre des Nations unies. L'armée allemande est d'ailleurs accusée d'avoir peut-être aidé au génocide). Ce soldat allemand, qui était en fait juriste et aussi infirmier volontaire, est un exemple des gestes ayant permis de faire la lumière sur ce crime massif. Depuis, à travers le monde, pendant des décennies, des Historiens et des humanistes ont lutté durement pour que ce génocide soit un jour reconnu.

Si vous faites une recherche Google, vous verrez des photos qui témoignent de l'horreur de ce crime.

- Michaël Lessard,

Média reseauforum.org et membre du Collectif de Québec pour la paix