Dans les médias

Quelques articles portant sur la Semaine de la solidarité et le 17 octobre, Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté

• Arrondissement.com - Parade dans Ahuntsic contre la pauvreté
• Le Devoir - Élections municipales à Montréal - Les organismes de lutte contre la pauvreté réclament des logements sociaux plutôt que des condos
• Hebdo Mékinak des Chenaux - La pauvreté, toujours d'actualité
• Nouvelle Union (Centre-du-Québec) - « La Table met la table » pour la journée mondiale pour l'élimination de la pauvreté
• Radio-Canada - La Ligue des droits et libertés se désole de l'obsession économique des élus

Article sur l’effet de la suppression de l’allocation pour contrainte temporaire à l’emploi, de 129 $, pour les couples avec un enfant de moins de cinq ans et les personnes âgées de 55 à 57 ans.

• Le Soleil

Un article sur l'itinérance au féminin à Montréal.

• La Presse

Du gouvernement du Québec

Communiqué du gouvernement du Québec et mot de la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale concernant laSemaine de la solidarité

• Portail Québec (communiqué)

• Ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (mot de la ministre)

Source de cette compilation : Collectif pour un Québec sans pauvreté

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Collectif pour un Québec sans pauvreté

Le communiqué de presse soulignant la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté

• Se donner les moyens de cultiver d’autres ambitions

Déclaration commune du Collectif pour souligner la Journée ...

• Pour que le Québec fasse mieux

Communiqué de presse sur les bonifications à venir au Plan d’action gouvernemental pour la solidarité et l’inclusion sociale

• Pour éviter de répéter les erreurs du passé

Communiqué de presse sur l’effet de la modification du règlement d’aide sociale

• Les prestations de deux personnes sur cinq auront finalement été coupées

Bulletin la Soupe au caillou qui porte notamment sur les élections municipales

• Bulletin 375

Bonjour,

En tant que membre de la coordination du Réseau du Forum social de Québec Chaudière-Appalaches et actif à l'époque de la coalition à Québec contre la Zone de «libre-échange» des Amériques (ZLÉA), voici deux raisons fondamentales pourquoi ces accords ne passent pas...

« Occultation démocratique »

Comment pourrions-nous, de base, tolérer des ententes secrètes, que même nos parlementaires élus (hors du gouvernement) n'ont pas vue ?  Les citoyens et les citoyennes, les divers organismes et entreprises et souvent même nos élu-es n'ont pas accès à ces ententes. Ce qui revient à dire que le gouvernement Harper tente de signer des ententes ayant des impacts sur nos ressources, nos droits, nos lois (commerciales, environnementales, etc.), nos services québécois et canadiens, limitant souvent notre pouvoir démocratique, sans que le peuple ait pu moindrement savoir de quoi il s'agit vraiment. Aucun cours de démocratie est nécessaire pour savoir que cela ne l'est pas.

Primauté des droits humains et démocratiques

De tels accords commerciaux doivent garantir réellement la primauté des droits humains —ce qui inclut certains principes internationaux des droits du travail— et la primauté des droits démocratiques —tel le pouvoir parlementaire d'imposer des limites pour des raisons environnementales et de santé publique.  Si ces accords ne stipulent pas la primauté des droits humains et des droits démocratiques, il serait un risque plutôt irresponsable pour un pays de les ratifier.

Les mots « libre-échange » ont un pouvoir de séduction irrationnelle. Peu importe le nom donné, il faut voir le contenu réel et les limites qui seront imposées au Canada et au Québec.

- Michaël Lessard

Ce règlement ...

a) déclare illégales toutes manifestations spontanées, même celles ayant lieu sur un trottoir ou dans un parc ! 

b) permet à la police d'interpeller arbitrairement tout groupe de personnes après 23h sans raison ni critère; c'est davantage un pouvoir qu'un règlement ;

c) interdit d'être présent dans un parc passé 23 h.  Faut croire que les personnes itinérantes n'avaient pas reçu encore assez d'amendes... 

   Par exemple, si des personnes manifestent contre Labeaume durant la campagne sans aviser d'abord le SPVQ, leur manif peut être bloquée et elles peuvent recevoir une amende municipale en vertu de ce que je surnomme la Loi spéciale Labeaume (article 19.2 du R.V.Q. 1959, a.2, adopté en 2012).  Bon, je doute que la police fasse un tel zèle en faveur de Labeaume et en fait la police ne semble pas appliquer les articles en question pour le moment, mais on ne doit pas attendre qu'un policier use de tels pouvoirs arbitraires : il faut abolir ces articles qui sont incompatibles avec le reste du droit québécois et canadien. 

- Michaël Lessard 

   Bonne nouvelle : il semblerait que les gens au Québec résistent au passage du pétrole bitumineux (TransCanada) sur leur territoire et sur leurs terrains privés.  La conférence de ce soir fut très positive, dont celle de Kim Cornelissen (AQLPA) qui a nommé tout plein de projets constructifs pour les énergies renouvelables et vertes : enfin, une présentation sur ce qui ce fait, va ce faire et pourrait être fait, dont à Québec ! Ça fait du bien ! 

   Rationnellement ou objectivement, plusieurs énergies renouvelables sont plus efficaces et donc plus économiques que les énergies fossiles et aideraient même notre réseau électrique.  En effet, on doit utiliser beaucoup d'énergie pour extraire et raffiner le pétrole : ce n'est pas un choix rationnel. 

   Saviez-vous que nous subventionnons 12X plus les énergies fossiles que les énergies renouvelables ?  De base, pourquoi subventionner des industries déjà riches qui *nous font payer une partie de la note* quand il y a des déversements (Mégantic) ou des dégâts ? (tant les pétrolières que les minières)  Aussi, le gaz et le pétrole ne sont même pas rentables pour nous le Québec.  TRÉS PEU des profits pétroliers restent au Québec !  On leur donne probablement plus en subventions et en paiements pour les dégâts en comparaison de ce que nous gagnons en redevances, impôts, etc. 

Ps : les États-Unis résistent au pétrole bitumineux, la Colombie-Britannique l'a refusé, mais là le Québec serait le maillon faible qui aiderait cette énergie ultra sale et peu sécuritaire pour nos sources d'eau potable.