Nous vous offrons une grille horaire des émissions qui abordent divers enjeux sur les ondes radios communautaires de CKIA (88,3 FM), CKRL (89,1 FM) et CHYZ (94,3 FM). Nous souhaitons donner plus de visibilité aux émissions radiophoniques indépendantes ayant un caractère engagé ou même progressiste.
Mises à jour
Activités en continu
Émissions de radio alternatives à Québec (mai 2020)
PING! Formation EN LIGNE gratuite à Internet
Nouveau : les ateliers-formations sont désormais en ligne ! Elles sont donc disponibles à distance.
L'annonce | Info: Alizé Taquoi
alize.taquoi communautique.quebec / 514-660-4600
La CDEC de Québec est fière d'être associée à Communautique pour offrir des formations gratuites pour contribuer à l'amélioration des compétences numériques (Internet) des personnes en situation de pauvreté et des personnes âgées.
- Il y a six modules, que vous pouvez suivre dans n'importe lequel ordre.
- Fonctionnement d'un ordinateur
- Recherche sur le Internet et souces fiables
- Utilisation du courriel
- Effectuer des transactions en ligne et protéger son identité
- Médias sociaux
- Utiliser les services en ligne, dont les services gouvernementaux.
Ateliers grands publics - Métiers d’art pour tous/toutes à Québec
Située au cœur du dynamique quartier Saint-Roch, la Maison des métiers d'art de Québec offre des ateliers grand public animés par des artisans-créateurs professionnels, dans un contexte de formation favorisant une pédagogie individualisée. Les locaux de la MMAQ sont vastes et dotés d'équipements spécialisés.
Plus de 30 ateliers, dont céramique, sculpture, textile, dessin, etc. !
- Les ateliers durent entre 6 et 30 heures et le coût varie entre 98 et 265 $, que vous pouvez payer en deux versements. Toutes les inscriptions se font en ligne (ne pas confondre avec paiement) dans l'article de l'atelier sur le site de la MMAQ.
Savoir.tv - Tant de choses à découvrir gratuitement
Un grand nombre de vidéos de qualité, sur divers sujets sont à votre disposition gratuitement sur le site savoir.tv. Les sujets sont variés : divers enjeux démocratiques, environnement, histoire, l'inclusion des personnes différentes, santé, sciences en tout genre, solidarité et coopération internationales, etc.
Le Savoir.TV est un organisme sans but lucratif dédiée à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances et de témoigner de l'effervescence des milieux de création du savoir.
Recommandé par le CESIQ.
Ateliers et services gratuits dans Vanier et Duberger (45ans+)
À tous les mois, pour les personnes de 45 ans et plus, il y a plusieurs ateliers/rencontres sur divers thèmes organisés par la Fraternité de Vanier, ainsi que des services utiles dont notamment des repas chauds à domicile (! 5.5 $) et un transport pour vos rendez-vous médicaux (il faut contribuer au coût de l'essence seulement) !
Exemples de thèmes des rencontres : les Neurones grises à la Bibliothèque Duberger, la cuisine, les émotions et le rire, etc.
Site ou appelez 418-683-2400 / fraternitedevanier videotron.ca
SPOT : clinique itinérante
SPOT est une clinique à l'intention des personnes marginalisées et de celles en situation de vulnérabilité sociosanitaire, non rejointes par l'offre de soins et services. Il y a aussi un point de services au YWCA Québec dédié à la santé des femmes (incluant trans et queer) depuis 2019. En plus d'offrir des soins et services adaptés, permettra de former, dans un contexte de collaboration interdisciplinaire, une relève professionnelle sensibilisée aux enjeux sociaux et aux besoins de santé de cette clientèle.
Elle est le fruit d'une grande collaboration des intervenant-es de terrain, universitaires, étudiant-es et des services de santé de la Capitale.
www.cliniquespot.org ou 418-803-3398
Comité CPU3S : un lieu d'entraide et de partage des expériences qui organise des sorties pour tous/toutes. Contact - Simon Vermette : pairaidant cliniquespot.org
Comité SPOT UL (université Laval) : voir leurs activités sur Facebook
Conseil de quartier ou comité citoyen !
Expositions ...
Pour les expositions et les activités artistiques,
nous recommandons l'agenda offert par la Ville de Québec
et le média Quoi faire à Quebec
Voir aussi notre section Médias alternatifs.
Action à Québec ! - information officielle
Il y a 14 an 10 mois
Bonjour à toutes et tous,
Le 1er avril, dénonçons les hausses de tarifs et la privatisation des services publics !
Une manifestation se tiendra à Québec avant d’embarquer dans le bus pour se rendre à l’action de Montréal.
Rendez-vous à 8h30 au Conseil du trésor (875, Grande Allée Est)
Le départ pour Montréal se fera à 9h du Conseil du trésor (Le retour est prévu pour 18h00.
Réservation obligatoire pour les autubus.
Pour plus d’informations sur la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics, voir l'annonce ci-dessus.
Pour information et/ou inscription pour les autobus, contactez le RÉPAC au 418-523-4158
L’équipe du Regroupement d'éducation populaire en action communautaire des régions de Québec et Chaudière-Appalaches
Re: Protection - partielle - de la forêt, un compromis
Il y a 14 an 10 mois
Un merci sincère à la personne qui a exprimée de manière éloquente et claire ses arguments sur ce cas précis.
Effectivement, ce n'est pas noir/blanc la question de la meilleure utilisation à faire de nos terrains et ressources naturelles pour le mieux-être et les besoins des gens. Ce sont des choix sociaux et politiques à faire. On sent que vous acceptez qu'il y ait un débat de société et c'est plaisant à voir.
Avant de continuer : je ne parle pas pour Forêt y voir ni sur un cas en particulier. Je représente des principes et des questionnements d'un réseau multisectoriel d'une quarantaine d'organismes sociaux, surtout de défense de droits et du Collectif La ville que nous voulons.
Il y a plusieurs terrains boisés et agraires visés actuellement.* C'est un problème récurrent qui porte le plus souvent sur la manière de faire, sur la manière d'écarter les questions et les positions des gens, vu qu'elles ne sont pas celles des intérêts financiers ou des calculs de la Mairie.
Certains commentaires, et un peu votre analyse, parlent de l'aspect privé des terrains. Pour nous, dans le collectif et le réseau que je représente, les forêts urbaines ne sont pas de simples terrains privés, elles sont aussi des ressources naturelles. De toute manière, le fait qu'il faut une permission et qu'il y ait des politiques et des règlements sur le dézonage prouve que le Québec a considéré que la démocratie devait avoir un mot à dire avant.
Nous nous posons des questions sur la manière de faire (sur la démocratie participative par exemple) et sur la protection de nos ressources naturelles. Il y a un conflit idéologique qu'il faut rendre plus explicite peut-être :
Pour le Collectif La ville que nous voulons, notre priorité est que les citoyen-nes soient au moins au courant (ils/elles décident alors de participer ou non au débat).
Il est très dommage que les citoyen-nes qui osent poser des questions et résister, pour obtenir des réponses ou affirmer leurs points de vue, soient dénigrés, avec parfois même des menaces judiciaires frivoles
(qui ne tiennent pas la route devant une cour, mais dont les frais sont exorbitants et visent à intimider).Dans le cas Rivière-Des-Roches, il est possible que le promoteur aura gain de cause au niveau de l'opinion majoritaire, ou peut-être pas, on verra. Dans tous les cas, au moins on pourra dire qu'il y a eu débat un peu démocratique et des compromis comme vous l'expliquez. Cette lutte a donc mené à des compromis (aménagements).
En résumé, quand nous disons que rien que nous avons vu ou entendu jusqu'à présent, dans les projets actuels*, ne nous démontre qu'ils servent le bien commun des gens, cela ne veut pas dire que ces projets sont nécessairement mauvais, cela veut dire littéralement qu'il faudrait...
Merci,
Michaël Lessard
* À Charlesbourg : Rivière-Des-Roches (le cas de Forêt y voir)
:: Cinq boisés urbains visés par le RAVQ 492 »»
* Val Bélair - env. 37 hectares dont un secteur situé sur le bassin versant de la prise d'eau de Québec. Au nord de l'intersection de la route de l'Aéroport et de l'avenue de la Montagne Est, au sud-ouest de la rue d'Édimbourg et au sud de la rue de l'Esplanade;
* Des Châtels - env. 3 hectares : au nord de l'intersection de la rue du Javelot et de la rue Julienne et au sud de l'avenue Industrielle;
* St-Émile - env. 25 hectares dont un secteur situé sur le bassin versant de la prise d'eau de Québec et un espace vert également considéré milieu naturel d'intérêt par la Ville. À l'est du boulevard de la Colline et à l'ouest de la rue Longchamps;
* St-Émile - env. 33 hectares : à l'ouest de la 175 dont un secteur considéré comme milieu naturel d'intérêt par la Ville. Au nord-ouest de la rue de la Faune et au nord-est de la rue de Vénus;
* Beauport - env. 119 hectares au nord de cet arrondissement. À l'est de la rue Sorbier, à l'ouest de la rue des Bolets et au nord des rues Philippe-Angers et du Villonet.
* La ferme SMA »»»
Votre message est clair Re: rivière des roches Martine Sansfaçon
Il y a 14 an 10 mois
Le message est clair :
On nous dit en démocratie et on enseigne à nos enfants à l'école qu'il faut s'exprimer, défendre ses opinions, participer à la démocratie.
Mais, dans la vraie vie, si vous défendez une opinion publiquement et si vous vous battez parce que vous estimez (à tort ou à raison) que des règles et politiques n'ont pas été respectées, vous serez humilié, insulté et on va chercher à vous discréditer.
C'est souvent comme ça. Quand vous décidez de militer pour une cause qui implique un débat de société (autre que la charité ou l'aide humanitaire), les gens vous trouvent étranges, chialeux, etc. Le message est clair, taisez-vous : le discours sur la participation citoyenne est un mensonge.
- Michaël Lessard
rivière des roches Martine Sansfaçon
Il y a 14 an 10 mois
Vraiment, que c'est désolant de voir cette Mme Sansfaçon agir de la sorte... Dans quel intérêt agi-t-elle au juste? Ne se rend-elle pas compte qu'elle nuit à plein de jeunes familles qui veulent avoir un petit coin tranquille pour eux? Cette dite dame n'habite-t-elle pas une maison, où certainement des arbres ont été coupés pour la construire?! Alors, pourquoi veut-elle enlever se privilège à d'autres? De plus que ce projet me semble une première en conservation d'arbres et d'espaces verts?
A-t-elle vu les plans de ce dit projet avant d'agir de la sorte?!! Elle ne veut que continuer à se promener gratuitement sur des terres privées qui ne lui appartiennent pas... Il me semble qu'étant des terres privées,cela règle le problème! Les gens vont-ils se promener dans sa cour chez elle??
Elle pense se faire un ebonne publicité, mais cela finira par se retourner contre elle.. C'est toujours ce qui arrive lorsque l'on agit de la sorte. Juste à regarder le conseil de ville pour voir dans qu'elle hunmiliation elle se met par sa faute.
J'espère que ce projet aura lieu pour toutes les nouvelles familles qui poussent!!
nos forets...
Il y a 14 an 10 mois
c est drole de voir que les citoyens parle des foret comme s il leur appartenaient,les foret qui appartienne a l etat s appele des parc ou des reserves ecologique.la plupart des espaces defendue par les citoyen sont des lieu privé donc defendu au citoyen...mechante difference.
Protection - partielle - de la forêt, un compromis
Il y a 14 an 10 mois
Je suis d'accord avec le premier intervenant sur ce forum à l'effet que le projet de la rivière des roches a le mérite de veiller à un sain équilibre entre le désir de développer des terrains et la préservation des forêts urbaines et voici pourquoi.
Bien sûr, dans un monde parfait, on préserverait tous les arbres du monde parce que chaque arbre purifie l'air que vous et moi respire. En même temps, la ville a besoin de revenus de taxes foncières pour payer les services qu'elle offre à ses citoyens. Augmenter le nombre de propriétés est une avenue aussi efficace que de hausser le taux de taxatation, sauf que dans le 2e cas, ça touche tout le monde alors que dans le 1er cas, on ajoute des nouveaux contributeurs.
Dans le cas du projet du Domaine de la Rivière des Roches, le compromis, concrètement, a été de demander au promoteur "d'obliger" les acquéreurs de terrain à préserver une bande de terrain de 10m sur chaque lot (10m sur un terrain qui compte 40m de profondeur environ), bande préservée où aucune coupe de peut être faite sur quoi que ce soit qui dépasse quelques pouces. À mon humble connaissance, il s'agit d'un des seuls développements à imposer cette contrainte - mais comme elle est connue et divulguée aux acheteurs futurs, c'est une démarche honnête et transparente. Vous ne verrez pas ce genre de limite dans le quartier actuel qui borde le futur projet, les propriétaires ont beau jeu de faire ce qu'ils veulent sur leur lot, comme ce fût le cas sur à peu près tout le territoire de la ville de Québec, sauf qu'on a imposé quand même une limite sur l'abbatage des arbres situés sur les terrains privés - ça reste qu'on protège des arbres un à un, pas un bande forestière complète.
Pour un terrain typique, c'est donc 25% du terrain qui est acheté et payé, mais qui ne sert pas du point de vue du propriétaire, au sens "utilisation typique" genre piscine ou autre. Et ca demeure un usage oxygénant (au sens de l'argument qui veut que les arbres sont utiles pour ressourcer l'air ambiant). Mais par contre, cette espace boisé demeure privé, le "public" ne pourra pas circuler librement dans l'espace boisé préservé sur le terrain d'un individu donné. Remarquez que de l'espace boisé public pour se promener, il en reste encore... et le projet prévoit justement un parc aménagé au bout de ce qui sera la rue transversale à l'extrémité du boul. Loiret (les rues n'ont pas encore de nom présentement).
De plus, une bande le long de la rivière est préservée pour y développer - éventuellement - un sentier. Aucune construction, aucun lot n'est vendu assez près de la rivière pour en priver l'accès à l'ensemble des citoyens. Et comme le projet sera relié à l'aqueduc municipal, il n'y a pas d'enjeu sur l'accès à l'eau de la rivière ou la contamination possible de fosses septiques, comme ce fut le cas dans des projets en milieu plus rural.
Ca me semble être tout à fait un compromis. Quelle est la position des opposants au projet? Ce que je comprend ici, c'est qu'il ne faudrait pas toucher à la forêt. Point. Il n'y a pas de compromis dans cette position. Ayons au moins le mérite de l'avouer.
Aux deux arguments soulevés par M. Lessard - ce n'est pas une attaque personnelle en aucun cas, c'est juste une réponse à vos arguments, les réponses me paraissent simples.
1er argument - "Rien jusqu'à maintenant nous indique que ces projets de développement servent réellement les gens"... c'est une généralisation exagérée. Ca sert bien quelqu'un, en fait ça va servir tous ceux qui se cherchent un endroit pour habiter et qui choisiront ce développement pour s'y installer. On parle donc de plusieurs centaines de propriétaires. Je suis allé marcher dans cette forêt à quelques reprises et je n'ai pas croisé autant d'utilisateurs actuels de cet espace. On ne parle quand même pas d'une forêt publique et aménagée comme tel, comme l'est par exemple le domaine Maizeret. C'est un vaste espace boisé où des sentiers ont été improvisés par les utilisateurs au fil du temps. Mais ne cherchez pas de banc de parc, de signalisation ou de quelconque aménagement ou service, ni même un stationnement pour les utilisateurs externes au voisinage, ça n'existe pas. Je ne crois pas qu'on prive beaucoup de gens d'un espace vital et hautement précieux. Je pense qu'on gonfle le mérite de cette forêt quand vient le temps de discuter de son développement pour servir les intérêts d'un petit groupe - ça c'est le vrai argument. À l'argument qui veut que rien ne prouve que le développement de la forêt sert les gens, je répond que rien ne prouve que le maintien actuel de la forêt sert réellement les gens. En fait, dans la balance des deux, je pense que le développement sert davantage de gens que le non-développement, mais ni l'un ni l'autre sert tout le monde.
Au fond, les personnes à qui ça ne sert pas sont ceux qui habitent le secteur et qui bénéficiaient jusqu'à ce jour d'une grande forêt sans qu'ils aient à acheter le terrain. C'est certain que pour eux, c'est une perte. Avoir des maisons derrière chez soi plutôt que des arbres, c'est moins intéressant. Mais souhaiter bloquer tout projet de développement pour préserver leur espace de villégiature, ça m'apparaît abusif, voire égoïste. Donc, oui ça va réellement servir des gens, la demande est là (sinon, pensez-vous que le promoteur aurait acheté les terrains?).
2e argument - "nous voulons voir des faits scientifiques (crédibles) sur les forêts urbaines de Québec qui pourraient démontrer qu'il y a nécessité d'urbaniser." En faisant le tour des différents constructeurs d'habitation de Québec, vous arriverez rapidement au constat qu'il y a une pénurie de terrains disponibles sur le territoire de la ville de Québec. Ce n'est pas "scientifique", mais c'est facile à vérifier et incontestable. Je l'ai fait. À moins que vous ayiez des endroits que vous suggérez d'urbaniser (dans les limites de la ville de Québe) qui seraient disponible et non boisés - vous aurez mieux réussi que bien des constructeurs. Le Mesnil, c'est complet, en passant, et c'était l'un des derniers développements qui auraient été valables. À ceci s'ajoute les dernières données de la chambre immobilière de Québec qui dénote une hausse de la valeur des maisons neuves de 6% en un an (c'est même plus pour les catégories "plex", genre duplex, etc.) parce qu'il y a rareté de maisons à vendre sur le marché, une tendence observable depuis quand même une longue période. S'ajoute également une hausse de la population de la ville (réf. dernières données du recensement) et un faible taux de chômage (4,1% en février 2010, en baisse de presque 1% depuis décembre 2009), signe que la population va continuer de croître. Et enfin, dernière donnée fondamentale et scientifique qui justifie en termes clairs que l'on doive développer les terrains disponibles, la ville de Québec voit son budget de dépenses de fonctionnement augmenter - comme toujours - pour pourvoir aux besoins de ses citoyens et l'ajout de nouvelles propriétés représente non seulement de l'argent neuf (par la taxe de mutation, ou taxe de bienvenue) mais représente à long terme une entrée récurrente de fonds par l'appréciation des propriétés situées sur son territoire. Autrement dit, la ville va encaisser davantage de revenus sans augmenter votre taux de taxation parce que la valeur globale de son parc immobilier va s'apprécier par l'ajout de propriétés de valeur - surtout si ces propriétés ont une bonne valeur, ce que les projets d'habitation à vocation plutôt sociale (comme les HLM par exemple) ne peuvent faire, bien qu'ils soient tout autant nécessaires. On ne peut réclamer davantage de logement social et refuser le développement de logement "non-social" en même temps, si tel est le discours.
Développer seulement en dehors de la ville n'est pas non plus une solution. Quand je regarde vers Montréal et qu'on constate les effets de l'éclatement des banlieues vs un exode du centre-ville (comme un beigne pour prendre une image facile), on constate rapidement le problème. La ville-centre perd des revenus fonciers alors que les banlieues s'enrichissent rapidement. Résultat, une guerre entre les deux pour le partage du financement des infrastructures centrales (réf. entre autres un conflit sur le partage des coûts du métro entre Longueil et Montréal) et une pression forte sur le transport (collectif ou individuel, les deux semblent poser problème puisqu'on dit qu'il manque de trains de banlieues et que ceux-ci sont rallongés sans jamais aller assez loin, apparement, sans compter l'engorgement quotidien des ponts et du tunnel).
En résumé, je supporte ce projet pleinement et les citoyen-nes ont tout intérêt à le supporter, pour le bien de la collectivité qui ne peut et ne devrait pas s'en passer.
Et j'apprécie que ce forum laisse l'occasion d'exprimer mon point de vue.
foret y voir
Il y a 14 an 10 mois
je trouve deplorable qu un groupe de citoyen ayant en moyenne 6000 pied carré de terain s approprie les millions de pieds carré que d autre citoyen se paye au lieu des REER.Est ce quelqun veut partager son REER avec moi?pourquoi je partagerais ma terre avec des gens qui jete leur gatorade sur mon terrain?
Ça donne pas le goût
Il y a 14 an 10 mois
Merci pour l'extrait.
On peut d'ailleurs voir plusieurs exemples d'intervention devant la Mairie à la télévision (sur le câble je crois).
À chaque fois, quand je constate que les gens doivent s'exprimer sous forme de question (passive) et s'en tenir à environ une minute, je me dis que je ne veux pas participer à ces audiences où le risque de s'humilier est trop élevé. De toute évidence, ce n'est pas le bon endroit pour un-e citoyen-ne pour se faire entendre, à moins de vouloir vraiment simplement s'exprimer en une question brève.
Tel qu'il me l'a été suggéré par des comités de citoyen-nes, il vaut mieux parler au Conseil d'arrondissement et dans son Conseil de quartier, et évidemment avec les divers groupes sociaux.
Mme Sanfaçon a parlé à ces instances; je ne parle pas d'elle ici. Je parle vraiment du fait que, alors que je suis une personne engagée d'expérience, je refuse d'aller m'humilier devant ce Conseil de ville. Si je veux m'impliquer au niveau municipal, je vais aller là où on peut s'exprimer et se comprendre calmement.
Merci.
Aménagement à Rivière-des-Roches
Il y a 14 an 10 mois
À la séance du conseil de ville de Québec du 010310, Mme Martine Sanfaçon a posé une question sur l'aménagement à Rivière-des-Roches. Vous pouvez entendre sa question, la réponse de M. le maire et l'ajout à celle-ci de M. François Picard, vice-président à l'aménagement du territoire de la ville à ce lien.
www.radioego.com/ego/listen/4396
Re: Mixité [organisé par l'Engrenage St-Roch, table de quartier]
Il y a 14 an 10 mois
Ce n'est PAS organisé par Centraide ni les Services correctionnels. Ceux-ci ont participé au forum, point.
Ce fut organisé par
a) L'Engrenage St-Roch, table de quartier
et b) L’aumônerie communautaire de Québec.
L'Engrenage est une initiative réellement citoyenne, qui a débuté avec le projet Fleurir la rue St-Joseph. Après ça, c'était un collectif surtout de jeunes personnes qui, par des activités sur la rue, voulait animer la vie de quartier et consulter indirectement des gens qui n'iraient jamais parler aux instances de la Ville. Le Conseil de quartier St-Roch a d'ailleurs été très sympathique et aidant dans ce sens.
Les organismes communautaires disent, en mes mots, que les personnes marginalisées ne vont pas et ne doivent pas se cacher. Mais je comprends votre point de vue: il faut effectivement éviter la ghettoïsation.
La mixité sociale dans St-Roch existe réellement et elle est valorisée par plusieurs, incluant des travailleur-euses et commerces.
Dans les centre-villes, on retrouve des gens dans la misère et souffrants (itinérance, toxicomanie, etc.). Il y a dans St-Roch beaucoup d'organismes d'aide et de services de proximité.
Désolé, mais ce n'est pas négociable: si vous voulez habiter dans St-Roch, vous devez accepter de côtoyer toutes sortes de gens, d'accepter de vivre dans la mixité.
Les organismes, et même des entrepreneurs, vont ensemble défendre la dignité des personnes et continuer à affirmer que les gens dans la misère ont le droit de cité dans St-Roch. Il existe aussi la crainte que les gens marginalisées amènent certaines personnes à éviter des commerces, mais des solutions respectueuses sont en marche.
Actuellement, beaucoup de nouvelles personnes, souvent très scolarisées et plus favorisés, viennent y habiter. Donc ça me semble faux d'affirmer que les gens plus favorisées ne veulent pas y habiter (Oui, certaines ne veulent pas et préfèrent les quartiers plus riches, c'est libre à elles). Le vrai problème est le risque que les loyers coûtent trop chers dans les années à venir.
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