merci m leboeuf pour vos commentaire tres pertinent,avec les madames sanfacon de ce monde,peut etre un jour les proprietaires de foret se regrouperont pour interdir l acces a tout les citoyens.au bout de la rue des loutres des affiches interdisent les promenade en foret depuis peu...c est juste un debut.

sur l affiche il y a des pictogrammes de vtt,ski doo,pieton,il manque la photo de madame sanfacon avec un gros x rouge.

mon plus grand reve est de la rencontrer un jour sur mon lot,croyez moi elle va retourner se prommener autour de sa piscine.

Bonjour, M. Lessard

Je suis en accord avec ce que vous énoncez,

La seule chose que je crois que vous avez mal compris, c'est que la seule personne dont ces droits ont été bafoué c'est moi.

J'ai franchis toutes les étapes légales pour faire mon développement. Le premier octobre 2009, vous pourrez le valider car c'est un document publique, mon projet était à l'ordre du jour.

Une erreur s'est produite dans le zonage et j'en ai été informé la journée du premier octobre. Les travaux devaient débuter légalement le 2 octobre, car le "permis" Protocole d'entente avait été entériné par l'exécutif pour aprobation au conseil de ville.

Donc depuis 6 mois, je dois me battre pour moi et tous mes clients pour refaire toutes les étapes que j'avais déjà franchient.

En plus de refaire toutes ces pénibles étapes, je dois me confronter à une dame qui adore le prestige des médias et à des mensonges de sa part.

Si vous avez suivi le dossier de la rivière des roches, ce n'est pas Martine Sansfacon qui a été (pour reprendre votre expression) insulté, humilié ou discrédité mais plutôt moi et mon entreprise et ce par des faussetés qui ont été dites.

Madame Sansfacon s'obstinnent à dire publiquement que j'ai fais un développement résidentiel en 2007 au bout de la rue des platanes sans permis. Je lui ai répondu par lettre avec preuve à l'appui de mon permis que j'avais tous fais avec les permis. Même avec cette preuve indéniable elle a continué de mentir en demandant au dernier conseil de ville quel amande avait été donné au promoteur du développement. Vous voyez bien que ce n'est pas du droit de parole, mais plutôt de la mauvaise foie encore une fois.

Donc demandez-vous pourquoi ensuite ceux qui veulent dire les vrais choses se font humilié et discrédité ? C'est à cause de personnes comme Madame Sansfacon.

Mais j'ai une devise qui a toujours fonctionné dans la vie c'est que la vérité triomphe toujours. Madame Sansfacon a étirer l'élastique un peu trop à mon avis.
Elle avait tout probablement une belle cause entre les mains mais elle a abusé des droits qu'elle avait et elle se retrouve maintenant avec plus d'opposant contre elle qu'avec elle ! C'est ca la vie ! On n'y échappe pas.

Merci
Sébastien Leboeuf

Bonjour,

Nous sommes dans la même situation, une jeune famille avec enfant en bas âge. Nous souhaitions trouver un grand terrain boisé, prêt de la forêt, mais aussi prêt de la ville, des transports en commun, désservi par les services de la ville et idéalement loin des pylônes électriques. Après plusieurs mois de recherche (car ces critères sont presque impossibles à tous rencontrer dans la région) nous avons enfin trouvé! Et près de là où ma conjointe et moi avons grandi! Nous étions très agréablement surpris car la très grande majorité des autres développements près de la ville commencent par tout raser pour ensuite quadriller de rues. Nous cherchions un coin tranquile, là où norte famille s'établirait pour 15-20 ans et où le milieu naturel serait protégé.

Je crois que c'est le cas de ce développement. Cela fait environ 3 ans que la ville travaille avec le promoteur pour en faire un développement qui possède ces qualités. Entre autres, les propriétaires de terrains peuvent décider de quels arbres ils veulent garder, une bande boisée de 10m est obligatoire sur chaque terrain, des parcs sont aménagés, la rivière est protégée et un sentier y est prévu.

Je crois aussi que la forêt doit être adéquatement protégée, que les politiques de la ville doivent être transparentes au sujet des projets de développement et que les citoyens doivent pouvoir y participer démocratiquement. C'est pourquoi je crois que les opposants à ce projet ont le droit de se faire entendre. Toutefois, je crois que ce développement est un compromis raisonable, permettant à plusieurs dizaines de familles de bénéficier eux aussi d'un tel milieu.

Initialement, nous avons été prudents. Nous avons vendu notre (petite) maison actuelle avec prise de possession le 1er août 2010. Le projet devait être approuvé à l'automne passé et donc nous étions à l'abri des retards potentiels. Aujourd'hui, avec les retards importants, il est certain que notre nouvelle maison ne sera pas prête en temps. Nous devrons donc nous louer une maison et déménager 2 fois, avec les dépenses qui s'y rattachent. Je sais que plusieurs autres familles sont dans des situations semblables. J'espère donc que la population saura reconnaître les qualités de ce projet et se prononcera dans ce sens.

Merci,

Jérôme Grenier

Bonjour,

Une personne a publié son commentaire malheureusement sous la mauvaise annonce (une action contre G.W. Bush :)

En somme, elle estime que le terrain actuel est simplement privé et que le projet lui donnera une vocation d'habitations plus denses (plus de gens).

Aussi, en réaction à mes commentaires sur la démocratie, elle invoque la Charte des droits et libertés et les lois pour affirmer que ce terrain est de contrôle privé et n'appartient pas à la Ville.

À mon avis, le statut des boisés est mixte. Les lois permettent aux instances démocratiques municipales de dézoner ou non un secteur. Les zones agricoles et forestières jouissent d'une protection particulière, car ce sont des ressources naturelles.

Ne grippons pas dans les rideaux non plus : c'est un débat, des choix de société que nous faisons actuellement. Le promoteur ou la Ville va peut-être convaincre les gens (le promoteur a gagné un vote important déjà) et, que le projet soit accepté ou refusé, la vie démocratique aura suivi son cours. Les gens n'ont pas la même vision de la démocratie, de comment gérer nos ressources naturelles, de combien d'espaces boisés il reste à Québec, etc. Dans certains commentaires ici, j'ai exprimé un peu la vision des réseaux et collectifs que je représente.

Nous, le Collectif La ville que nous voulons, souhaitons que les gens habitant les coins visés (voir les sept cas nommés dans l'autre commentaire) soient au moins avisés et puissent, si désirés, participer aux débats et au processus que la Ville mettra en place.

- Michaël Lessard