Nous vous offrons une grille horaire des émissions qui abordent divers enjeux sur les ondes radios communautaires de CKIA (88,3 FM), CKRL (89,1 FM) et CHYZ (94,3 FM). Nous souhaitons donner plus de visibilité aux émissions radiophoniques indépendantes ayant un caractère engagé ou même progressiste.
Le RéseauFS appuie les syndicats du secteur public
Lettre aux syndicats du secteur public
Des mouvements sociaux et communautaires
solidaires avec les travailleuses et les travailleurs du secteur public
9 décembre, 2005.
Nous sommes des personnes assistées sociales, des bénévoles, des écologistes, des consommateurs/trices, des étudiantEs, des locataires, des personnes ayant des limitations fonctionnelles, des femmes, des jeunes, des personnes immigrantes, membres de diverses organisations sociales et communautaires. Nous agissons dans des secteurs de la société autres que les milieux de travail. Nous ne sommes pas syndiquéEs. Mais nous sommes préoccupéEs de l’image exclusivement négative que le gouvernement Charest charrie dans l’opinion publique à propos des travailleurs et travailleuses syndiquéEs. Nous refusons de faire partie de cette stratégie démagogique qui consiste pour les libéraux à « monter » la population non syndiquée contre la population syndiquée. Nous voulons briser cette logique anti-solidaire et démontrer que, syndiquéEs et non-syndiquéEs, nous partageons des valeurs et des intérêts communs.
Nous voulons donc exprimer notre solidarité à celles et à ceux qui assurent, au quotidien, les services publics auprès de la population. Nous tenons à exprimer ouvertement notre attachement à ces services et notre conviction que la qualité de ceux-ci est indissociable de l’amélioration des conditions de travail prévalant dans les trois grands réseaux : santé et services sociaux, éducation, fonction publique. Contrairement aux images projetées dans les médias et alimentées par les ténors du gouvernement, nous ne pensons pas que les syndiquéEs du secteur public sont des « millionnaires-gras-dur-qui-se-la-coulent-douce-sur-le-dos-des-contribuables ». Il faut être préposéE dans un hôpital, secrétaire dans une école ou concierge pour le savoir. Et même les professionnels ne roulent pas sur l’or : ils constituent cette classe moyenne dont le niveau de vie n’a pas beaucoup progressé dans la dernière décennie. Contrairement à certains esprits, qui se sont exprimés récemment, nous ne croyons pas non plus que l’action syndicale se limite à une protection à courte vue des intérêts de ses membres. Nous pensons plutôt que les syndicats du secteur public sont parmi les meilleurs défenseurs d’une société organisée au profit de l’ensemble de la population. Nous avons aussi la conviction que les organisations syndicales, loin de refuser le changement, multiplient les démarches et les efforts, avec d’autres mouvements sociaux, pour obtenir de réels changements pour construire une société libre, démocratique et solidaire. D’ailleurs, l’Histoire du mouvement syndical en témoigne éloquemment.
Nous sommes inquiets du déroulement des négociations du secteur public. Si les négociations des conditions de travail semblent s’accélérer, du moins à certaines tables sectorielles, nous constatons cependant un dangereux piétinement sur plusieurs aspects.
Déjà, le 20 octobre dernier, à l’occasion de la reprise des travaux parlementaires à l’Assemblée nationale nous avons écrit aux députéEs concernant les services publics que
En ce qui concerne les négociations des conventions collectives nous avons fait connaître notre désapprobation complète à l’égard de l’attitude du gouvernement, et plus particulièrement du Conseil du trésor. Nous considérons en effet que toute négociation exige un minimum de respect entre les parties. Or, il nous semble que le gouvernement a trop longtemps manifesté son mépris à l’égard des organisations syndicales. Si le gouvernement pense obtenir l’appui de la population en adoptant à leur endroit, de façon démagogique, une attitude de « terminator », nous pensons qu’il se trompe. Nous pouvons diverger d’opinions quant aux stratégies ou tactiques utilisées, mais sur le fond, nous appuyons solidairement le mouvement syndical.
Par ailleurs, le gouvernement sait très bien que la question de l’équité salariale doit être dissociée de la négociation des conventions collectives comme l’exige l’application de la Loi sur l’équité salariale. Nous constatons qu’en ce domaine les syndicats demandent au Conseil du trésor et au gouvernement un changement d’attitude qui tarde à venir. Certes, la capacité de payer du gouvernement est liée à celle des contribuables. Mais alors, au lieu de faire miroiter sans cesse des baisses d’impôt, il vaudrait mieux en finir une fois pour toute avec les inégalités de salaires entre les hommes et les femmes. Voilà un changement auquel nous nous attendons de la part du gouvernement. Il est plus que temps que ça change. Ça fait plus d’un quart de siècle que les femmes du secteur public, comme bien d’autres, attendent que justice soit faite.
Le gouvernement doit également savoir que nous soutenons toute revendication qui pourrait mettre les services publics à l’abri de la privatisation ou d’un recours accru à la sous-traitance. Par ailleurs, pour être cohérentEs, nous ne pouvons qu’insister sur la nécessité de réduire la précarité des emplois, phénomène qui frappe davantage les femmes et les jeunes dans les services publics comme ailleurs dans la société. Comme employeur, le gouvernement doit montrer l’exemple en cette matière plutôt que de céder au chantage incessant d’un marché aussi chaotique qu’irresponsable.
Enfin, nous voulons informer les organisations syndicales de notre disponibilité pour faire part de notre solidarité à leurs membres dans la perspective de défendre collectivement les services publics. Nous sommes disposés à convenir avec les responsables syndicaux de la meilleure manière de réaliser cet engagement.
Salutations solidaires
- Le Réseau du Forum social de Québec Chaudière-Appalaches www.reseauforum.org
Cette lettre fut rédigée par le Réseau de Vigilance nationale
- Le Comité de liaison du Réseau de vigilance Michèle Asselin, Éric Bondo, Lorraine Guay, Vivian Labrie, Serge Roy, François Saillant
LISTE DES GROUPES SIGNATAIRES
A – GROUPES NATIONAUX ET REGROUPEMENTS RÉGIONAUX
Association québécoise pour un contrat mondial de l’eau (AQCME)
ATTAC – Québec
Carrefour de participation, ressourcement et formation (CPMO)
Centre Justice et Foi
Collectif pour un Québec sans pauvreté
Confédération des organismes de personnes handicapées du Québec (COPHAN)
D’abord Solidaires
Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ)
Fédération des femmes du Québec (FFQ)
Front commun des personnes assistées sociales (FCPAS)
Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU)
L’R des centres de femmes
Mouvement pour une démocratie nouvelle (MDN)
Mouvement des Travailleuses et Travailleurs Chrétiens (MTC)
Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ)
Regroupement québécois des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)
Regroupement québécois des groupes écologiques (RQGE)
Réseau des tables régionales de groupes de femmes du Québec
Réseau du Forum social de Québec et Chaudière-Appalaches
Solidarité populaire Estrie
Union des consommateurs
B – GROUPES RÉGIONAUX
ACEF Estrie
AmiEs de la Terre de l’Estrie
Corporation de développement communautaire du Granit Réf : Francine Laliberté
Regroupement des organismes d’éducation populaire autonome de la Mauricie (ROM)
Réseau de vigilance du Bas St-Laurent
Table de concertation des groupes de femmes du Bas St-Laurent
Trovep - Montérégie
Trovep – Montréal
Trovep - Outaouais
C – GROUPES LOCAUX
Association des étudiants et étudiantes en études supérieures de l’Université du Québec à Rimouski (AEEESUQAR)
Association générale des étudiants du Cégep de Rimouski
Comité Logement Rimouski-Neigette
Paraloeil, Rimouski
PLAIDD-BF Droits et recours en santé mentale, Rimouski
Répis du passant de Rimouski
solidaires avec les travailleuses et les travailleurs du secteur public
9 décembre, 2005.
Nous sommes des personnes assistées sociales, des bénévoles, des écologistes, des consommateurs/trices, des étudiantEs, des locataires, des personnes ayant des limitations fonctionnelles, des femmes, des jeunes, des personnes immigrantes, membres de diverses organisations sociales et communautaires. Nous agissons dans des secteurs de la société autres que les milieux de travail. Nous ne sommes pas syndiquéEs. Mais nous sommes préoccupéEs de l’image exclusivement négative que le gouvernement Charest charrie dans l’opinion publique à propos des travailleurs et travailleuses syndiquéEs. Nous refusons de faire partie de cette stratégie démagogique qui consiste pour les libéraux à « monter » la population non syndiquée contre la population syndiquée. Nous voulons briser cette logique anti-solidaire et démontrer que, syndiquéEs et non-syndiquéEs, nous partageons des valeurs et des intérêts communs.
Nous voulons donc exprimer notre solidarité à celles et à ceux qui assurent, au quotidien, les services publics auprès de la population. Nous tenons à exprimer ouvertement notre attachement à ces services et notre conviction que la qualité de ceux-ci est indissociable de l’amélioration des conditions de travail prévalant dans les trois grands réseaux : santé et services sociaux, éducation, fonction publique. Contrairement aux images projetées dans les médias et alimentées par les ténors du gouvernement, nous ne pensons pas que les syndiquéEs du secteur public sont des « millionnaires-gras-dur-qui-se-la-coulent-douce-sur-le-dos-des-contribuables ». Il faut être préposéE dans un hôpital, secrétaire dans une école ou concierge pour le savoir. Et même les professionnels ne roulent pas sur l’or : ils constituent cette classe moyenne dont le niveau de vie n’a pas beaucoup progressé dans la dernière décennie. Contrairement à certains esprits, qui se sont exprimés récemment, nous ne croyons pas non plus que l’action syndicale se limite à une protection à courte vue des intérêts de ses membres. Nous pensons plutôt que les syndicats du secteur public sont parmi les meilleurs défenseurs d’une société organisée au profit de l’ensemble de la population. Nous avons aussi la conviction que les organisations syndicales, loin de refuser le changement, multiplient les démarches et les efforts, avec d’autres mouvements sociaux, pour obtenir de réels changements pour construire une société libre, démocratique et solidaire. D’ailleurs, l’Histoire du mouvement syndical en témoigne éloquemment.
Nous sommes inquiets du déroulement des négociations du secteur public. Si les négociations des conditions de travail semblent s’accélérer, du moins à certaines tables sectorielles, nous constatons cependant un dangereux piétinement sur plusieurs aspects.
Déjà, le 20 octobre dernier, à l’occasion de la reprise des travaux parlementaires à l’Assemblée nationale nous avons écrit aux députéEs concernant les services publics que
« nous ne pouvons plus accepter de les voir fragilisés d’un budget à l’autre. Qu’il s’agisse de la santé, de l’éducation ou de la sécurité du revenu, mais aussi de l’environnement, des transports, de l’agriculture, des ressources naturelles, des organismes de protection des droits, du soutien aux familles, etc., des ressources suffisantes doivent être prévues pour que les services publics puissent répondre aux besoins de la société. Nous ne pourrons accepter passivement que vous décidiez du démantèlement de services important comme les services de garde, par exemple. Les services publics constituent un outil indispensable de solidarité sociale et jouent un rôle majeur dans la cohésion sociale et économique, en vue d’atteindre une répartition juste et équitable de la richesse »et nous ajoutons pour le mieux-être de l’ensemble de la population.
En ce qui concerne les négociations des conventions collectives nous avons fait connaître notre désapprobation complète à l’égard de l’attitude du gouvernement, et plus particulièrement du Conseil du trésor. Nous considérons en effet que toute négociation exige un minimum de respect entre les parties. Or, il nous semble que le gouvernement a trop longtemps manifesté son mépris à l’égard des organisations syndicales. Si le gouvernement pense obtenir l’appui de la population en adoptant à leur endroit, de façon démagogique, une attitude de « terminator », nous pensons qu’il se trompe. Nous pouvons diverger d’opinions quant aux stratégies ou tactiques utilisées, mais sur le fond, nous appuyons solidairement le mouvement syndical.
Par ailleurs, le gouvernement sait très bien que la question de l’équité salariale doit être dissociée de la négociation des conventions collectives comme l’exige l’application de la Loi sur l’équité salariale. Nous constatons qu’en ce domaine les syndicats demandent au Conseil du trésor et au gouvernement un changement d’attitude qui tarde à venir. Certes, la capacité de payer du gouvernement est liée à celle des contribuables. Mais alors, au lieu de faire miroiter sans cesse des baisses d’impôt, il vaudrait mieux en finir une fois pour toute avec les inégalités de salaires entre les hommes et les femmes. Voilà un changement auquel nous nous attendons de la part du gouvernement. Il est plus que temps que ça change. Ça fait plus d’un quart de siècle que les femmes du secteur public, comme bien d’autres, attendent que justice soit faite.
Le gouvernement doit également savoir que nous soutenons toute revendication qui pourrait mettre les services publics à l’abri de la privatisation ou d’un recours accru à la sous-traitance. Par ailleurs, pour être cohérentEs, nous ne pouvons qu’insister sur la nécessité de réduire la précarité des emplois, phénomène qui frappe davantage les femmes et les jeunes dans les services publics comme ailleurs dans la société. Comme employeur, le gouvernement doit montrer l’exemple en cette matière plutôt que de céder au chantage incessant d’un marché aussi chaotique qu’irresponsable.
Enfin, nous voulons informer les organisations syndicales de notre disponibilité pour faire part de notre solidarité à leurs membres dans la perspective de défendre collectivement les services publics. Nous sommes disposés à convenir avec les responsables syndicaux de la meilleure manière de réaliser cet engagement.
Salutations solidaires
- Le Réseau du Forum social de Québec Chaudière-Appalaches www.reseauforum.org
Cette lettre fut rédigée par le Réseau de Vigilance nationale
- Le Comité de liaison du Réseau de vigilance Michèle Asselin, Éric Bondo, Lorraine Guay, Vivian Labrie, Serge Roy, François Saillant
A – GROUPES NATIONAUX ET REGROUPEMENTS RÉGIONAUX
Association québécoise pour un contrat mondial de l’eau (AQCME)
ATTAC – Québec
Carrefour de participation, ressourcement et formation (CPMO)
Centre Justice et Foi
Collectif pour un Québec sans pauvreté
Confédération des organismes de personnes handicapées du Québec (COPHAN)
D’abord Solidaires
Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ)
Fédération des femmes du Québec (FFQ)
Front commun des personnes assistées sociales (FCPAS)
Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU)
L’R des centres de femmes
Mouvement pour une démocratie nouvelle (MDN)
Mouvement des Travailleuses et Travailleurs Chrétiens (MTC)
Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ)
Regroupement québécois des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)
Regroupement québécois des groupes écologiques (RQGE)
Réseau des tables régionales de groupes de femmes du Québec
Réseau du Forum social de Québec et Chaudière-Appalaches
Solidarité populaire Estrie
Union des consommateurs
B – GROUPES RÉGIONAUX
ACEF Estrie
AmiEs de la Terre de l’Estrie
Corporation de développement communautaire du Granit Réf : Francine Laliberté
Regroupement des organismes d’éducation populaire autonome de la Mauricie (ROM)
Réseau de vigilance du Bas St-Laurent
Table de concertation des groupes de femmes du Bas St-Laurent
Trovep - Montérégie
Trovep – Montréal
Trovep - Outaouais
C – GROUPES LOCAUX
Association des étudiants et étudiantes en études supérieures de l’Université du Québec à Rimouski (AEEESUQAR)
Association générale des étudiants du Cégep de Rimouski
Comité Logement Rimouski-Neigette
Paraloeil, Rimouski
PLAIDD-BF Droits et recours en santé mentale, Rimouski
Répis du passant de Rimouski
Sections:
Activités en continu
Émissions de radio alternatives à Québec (mai 2020)
PING! Formation EN LIGNE gratuite à Internet
Nouveau : les ateliers-formations sont désormais en ligne ! Elles sont donc disponibles à distance.
L'annonce | Info: Alizé Taquoi
alize.taquoi communautique.quebec / 514-660-4600
La CDEC de Québec est fière d'être associée à Communautique pour offrir des formations gratuites pour contribuer à l'amélioration des compétences numériques (Internet) des personnes en situation de pauvreté et des personnes âgées.
- Il y a six modules, que vous pouvez suivre dans n'importe lequel ordre.
- Fonctionnement d'un ordinateur
- Recherche sur le Internet et souces fiables
- Utilisation du courriel
- Effectuer des transactions en ligne et protéger son identité
- Médias sociaux
- Utiliser les services en ligne, dont les services gouvernementaux.
Ateliers grands publics - Métiers d’art pour tous/toutes à Québec
Située au cœur du dynamique quartier Saint-Roch, la Maison des métiers d'art de Québec offre des ateliers grand public animés par des artisans-créateurs professionnels, dans un contexte de formation favorisant une pédagogie individualisée. Les locaux de la MMAQ sont vastes et dotés d'équipements spécialisés.
Plus de 30 ateliers, dont céramique, sculpture, textile, dessin, etc. !
- Les ateliers durent entre 6 et 30 heures et le coût varie entre 98 et 265 $, que vous pouvez payer en deux versements. Toutes les inscriptions se font en ligne (ne pas confondre avec paiement) dans l'article de l'atelier sur le site de la MMAQ.
Savoir.tv - Tant de choses à découvrir gratuitement
Un grand nombre de vidéos de qualité, sur divers sujets sont à votre disposition gratuitement sur le site savoir.tv. Les sujets sont variés : divers enjeux démocratiques, environnement, histoire, l'inclusion des personnes différentes, santé, sciences en tout genre, solidarité et coopération internationales, etc.
Le Savoir.TV est un organisme sans but lucratif dédiée à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances et de témoigner de l'effervescence des milieux de création du savoir.
Recommandé par le CESIQ.
Ateliers et services gratuits dans Vanier et Duberger (45ans+)
À tous les mois, pour les personnes de 45 ans et plus, il y a plusieurs ateliers/rencontres sur divers thèmes organisés par la Fraternité de Vanier, ainsi que des services utiles dont notamment des repas chauds à domicile (! 5.5 $) et un transport pour vos rendez-vous médicaux (il faut contribuer au coût de l'essence seulement) !
Exemples de thèmes des rencontres : les Neurones grises à la Bibliothèque Duberger, la cuisine, les émotions et le rire, etc.
Site ou appelez 418-683-2400 / fraternitedevanier videotron.ca
SPOT : clinique itinérante
SPOT est une clinique à l'intention des personnes marginalisées et de celles en situation de vulnérabilité sociosanitaire, non rejointes par l'offre de soins et services. Il y a aussi un point de services au YWCA Québec dédié à la santé des femmes (incluant trans et queer) depuis 2019. En plus d'offrir des soins et services adaptés, permettra de former, dans un contexte de collaboration interdisciplinaire, une relève professionnelle sensibilisée aux enjeux sociaux et aux besoins de santé de cette clientèle.
Elle est le fruit d'une grande collaboration des intervenant-es de terrain, universitaires, étudiant-es et des services de santé de la Capitale.
www.cliniquespot.org ou 418-803-3398
Comité CPU3S : un lieu d'entraide et de partage des expériences qui organise des sorties pour tous/toutes. Contact - Simon Vermette : pairaidant cliniquespot.org
Comité SPOT UL (université Laval) : voir leurs activités sur Facebook
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