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Réflexions à Québec sur les médias alternatifs (Mai'08) -article indép.
Une quinzaine d’artisans de médias alternatifs et communautaires, dont plusieurs membres de l’organisme de solidarité internationale Alternatives, ont discuté de l’état des médias, le 14 mai 2008 à Québec. Étaient invités, pour présenter la situation et nourrir la discussion, Robin Couture, collaborateur du journal communautaire Droit de parole, Jean-Simon Gagné, chroniqueur au journal Le Soleil, Mathilde Forest-Rivière de l’émission Radio-Alternatives à CKIA, Emmanuel Martinez, responsable de l’information chez Alternatives et Pierre Mouterde, un des fondateurs de la revue À bâbord ! et de Presse-toi à gauche !
De moins en moins de journalistes
Montréal et les reporteurs-à-tout-faire
Le journal Le Soleil serait, de l’avis de Jean-Simon Gagné, un des rares médias à avoir une « salle de rédaction généraliste » où l’on retrouve des journalistes attitrés à une grande variété de sujets. Ceci permettrait à ce journal d’aborder adéquatement des thèmes variés, incluant la culture et les sports. Ailleurs, la tendance est à faire des économies d’échelle en éliminant les journalistes pour se contenter d’employer des reporteur.es devant copier les articles d’autres sources. Ce serait particulièrement marqué dans le domaine de la radio. On retrouve aussi, par exemple, des médias nationaux ayant des chroniqueurs basés uniquement à Montréal. On voit présentement à TQS ce désir de couper les journalistes. « La question n’est pas si TQS offrait des nouvelles de qualité, le fait est que la salle des nouvelles aurait été fermée même si leurs nouvelles avaient été de haute qualité », a affirmé M. Gagné.
Les journalistes sont aussi confronté aux pressions voulant les transformer en « Hommes orchestres » devant faire de l’audio, des photos, du vidéo, la rédaction, etc. C’est d’ailleurs une des critiques des journalistes mis en lock-out du Journal de Québec (Quebecor). Certains au Média Matin Québec se demandent si les patrons ne souhaitent pas, par exemple, remplacer les photographes par des reporteurs-à-tout-faire.
Les États-Unis ont limité la fusion des médias,
mais ici le PQ a donné le feu vert
Jean-Simon Gagné constate que le Canada n’a pas limité les fusions des médias, alors que les États-Unis l’ont fait pour éviter qu’ils soient entre les mains d’un nombre trop restreint de propriétaires. Au Québec, la quasi-totalité de la presse quotidienne appartient à Gesca (Power Corp.) et à Quebecor, mais ils possèdent aussi de nombreux autres médiums de masse, dont des hebdomadaires, des maisons de disques, etc. Le journal Le Devoir fait figure d’exception. À l’époque, dit-il, « la concentration des médias était jugée déjà extrême : il était pour nous totalement inconcevable qu’un jour deux propriétaires se partagent la presse quotidienne ». Robert Bourassa avait refusé plusieurs fois les demandes de fusion mais, en 2001, le gouvernement péquiste de Bernard Landry a accepté que Gesca puisse acheter les journaux de masse aujourd’hui regroupés sur cyberpresse.ca. M. Bernard Landry a déclaré qu’il regrettait cette décision.
Quand le 4e pouvoir que sont les médias est au service du pouvoir…
Pierre Mouterde, enseignant au cégep de Limoilou à Québec, est un des fondateurs de la revue À bâbord ! et de Presse-toi à gauche ! Il estime que les médias au Québec, devant normalement être un 4e pouvoir indépendant en démocratie, sont actuellement au service des trois autres pouvoirs : l’exécutif (gouvernement), le législatif (parlement) et le juridique (les tribunaux). De plus, il considère que la concentration de la propriété des médias commerciaux est telle, qu’il s’agit d’une situation « d’hégémonie culturelle », c’est-à-dire où une vision dominante peut s’imposer dans tous les médias de masse à la fois. Dans ce contexte, les médias alternatifs sont d’autant plus un contre-pouvoir crucial.
« La presse alternative au Québec est increvable »
Il n’y aurait pas lieu de se décourager vu la naissance de plusieurs mouvements sociaux, dont le mouvement altermondialiste. Aussi, M. Mouterde décrit la presse alternative comme étant increvable, créative et dynamique. Elle est néanmoins très artisanale ou amateure et le plus souvent locale. Il offre toutefois des exemples de médias alternatifs d’envergure nationale et prolifique : L’Aut’Journal, alternAtives, À bâbord !, Le Couac, Presse-toi à gauche ! et l’ancien CMAQ (lire : dans les premières années, il y avait des reporteur.es indépendants liés au CMAQ).
Des lacunes et des préjugés
Robin Couture, du journal communautaire Droit de parole, constate des préjugés envers les médias alternatifs, selon lesquels ces derniers seraient surtout des instruments de communication plutôt que d’information, donc de propagande pour des organismes, incluant des partis politiques. Il estime qu’il s’agit en effet de médias de communication, plutôt que d’information formelle, mais dont la nature même se veut démocratique, tant de par son organisation interne que ses appels à la mobilisation citoyenne. De plus, les médias de masse jouent tellement le rôle passif de courroie de transmission des informations institutionnelles, que les autres médias ont de facto un sens et une importance.
Sans le sou et gratuit
M. Couture, à l’instar des autres participant.es, fait remarquer l’aspect très bénévole des médias non commerciaux. Certains estiment que la situation est excessive et que les bénévoles portent sur leurs épaules une lutte de survie intenable. Pour sa part, Jean-Simon Gagné dénonce le fait que les gens sont tellement habitués à tout avoir gratuitement sur Internet, qu’elles ne sont pas prêts à payer pour l’information ; un état de fait qu’il surnomme « la culture de la gratuité ». En effet, combien des personnes offrent même un maigre 5 $ par année pour un média alternatif ou communautaire gratuit ?
Suggestions critiques aux médias alternatifs
Les participant.es, en particulier Emmanuel Martinez (Alternatives), ont formulé les recommandations suivantes pour les médias alternatifs : couvrir davantage les actions et groupes citoyens hors des réseaux militants et tenter de faire plus de journalisme d’information et un peu moins de « pamphlets militants ».
Une participante fait remarquer que les radios communautaires sont les médias alternatifs les plus participatifs —où il se fait beaucoup d’apprentissages— et rejoignant un grand nombre de citoyen.nes.
Pistes d’action :
entraide, coopération et collectivisation de ressources
La stratégie de base, parfois appliquée, est de créer une synergie entre les médias alternatifs, qui se fait simplement par la promotion réciproque des autres médias alliés.* Essentiellement, il s’agit d’éviter tout esprit de compétition ou défensif entre les médias alternatifs.
M. Mouterde suggère toutefois d’améliorer les portails nationaux vers les divers médias et, si possible, de créer un grand média pluraliste, national, de grande diffusion, qui serait au service des médias alternatifs du Québec.
Certains se demandent s’il ne serait pas possible d’être publicisés dans les journaux des centrales syndicales.
Vu le manque extrême de ressources financières pour payer les artisans, oeuvrant parfois bénévolement à temps pleins, la question de la publicité doit être abordée. Des participant.es estiment qu’il faudrait envisager l’idée de collectiviser certaines ressources et moyens de financement. Par exemple, des médias alternatifs pourraient se doter d’un bureau commun voué à la recherche de clients pour la publicité, etc.
Un engagement à la recherche de la vérité
Jean-Simon Gagné estime que le journalisme doit être un engagement à la recherche de la vérité, plutôt qu’un simple emploi, où l’on sert de courroie de transmission des informations institutionnelles. Les journalistes au Québec, qui insistent pour dire ce qui leur semble véridique, peuvent subir censure, intimidation, suspension, harcèlement, etc. Concrètement, permettez-nous d’ajouter que leurs chances d’être employés sont extrêmement faibles et, au mieux, leurs articles seront achetés à la pièce à titre de pigistes.
Quelle capacité de communication de masse possède le « journalisme démocratique » et indépendant d’aujourd’hui ?
- Michaël Lessard, 16 mai 2008.
Journaliste indépendant,
membre du Centre des médias alternatifs du Québec (cmaq.net)
--
Liberté et droits d’auteur :
Les médias ou sites gratuits ou communautaires peuvent librement et gratuitement utiliser le contenu pourvu que le nom de l’auteur soit mentionné. Les médias ou sites non gratuits ni communautaires doivent obtenir la permission de Michaël Lessard : 418-254-6448.
Voici un résumé de leurs perspectives et pistes d'action...
De moins en moins de journalistes
Montréal et les reporteurs-à-tout-faire
Le journal Le Soleil serait, de l’avis de Jean-Simon Gagné, un des rares médias à avoir une « salle de rédaction généraliste » où l’on retrouve des journalistes attitrés à une grande variété de sujets. Ceci permettrait à ce journal d’aborder adéquatement des thèmes variés, incluant la culture et les sports. Ailleurs, la tendance est à faire des économies d’échelle en éliminant les journalistes pour se contenter d’employer des reporteur.es devant copier les articles d’autres sources. Ce serait particulièrement marqué dans le domaine de la radio. On retrouve aussi, par exemple, des médias nationaux ayant des chroniqueurs basés uniquement à Montréal. On voit présentement à TQS ce désir de couper les journalistes. « La question n’est pas si TQS offrait des nouvelles de qualité, le fait est que la salle des nouvelles aurait été fermée même si leurs nouvelles avaient été de haute qualité », a affirmé M. Gagné.
Les journalistes sont aussi confronté aux pressions voulant les transformer en « Hommes orchestres » devant faire de l’audio, des photos, du vidéo, la rédaction, etc. C’est d’ailleurs une des critiques des journalistes mis en lock-out du Journal de Québec (Quebecor). Certains au Média Matin Québec se demandent si les patrons ne souhaitent pas, par exemple, remplacer les photographes par des reporteurs-à-tout-faire.
Les États-Unis ont limité la fusion des médias,
mais ici le PQ a donné le feu vert
Jean-Simon Gagné constate que le Canada n’a pas limité les fusions des médias, alors que les États-Unis l’ont fait pour éviter qu’ils soient entre les mains d’un nombre trop restreint de propriétaires. Au Québec, la quasi-totalité de la presse quotidienne appartient à Gesca (Power Corp.) et à Quebecor, mais ils possèdent aussi de nombreux autres médiums de masse, dont des hebdomadaires, des maisons de disques, etc. Le journal Le Devoir fait figure d’exception. À l’époque, dit-il, « la concentration des médias était jugée déjà extrême : il était pour nous totalement inconcevable qu’un jour deux propriétaires se partagent la presse quotidienne ». Robert Bourassa avait refusé plusieurs fois les demandes de fusion mais, en 2001, le gouvernement péquiste de Bernard Landry a accepté que Gesca puisse acheter les journaux de masse aujourd’hui regroupés sur cyberpresse.ca. M. Bernard Landry a déclaré qu’il regrettait cette décision.
Quand le 4e pouvoir que sont les médias est au service du pouvoir…
Pierre Mouterde, enseignant au cégep de Limoilou à Québec, est un des fondateurs de la revue À bâbord ! et de Presse-toi à gauche ! Il estime que les médias au Québec, devant normalement être un 4e pouvoir indépendant en démocratie, sont actuellement au service des trois autres pouvoirs : l’exécutif (gouvernement), le législatif (parlement) et le juridique (les tribunaux). De plus, il considère que la concentration de la propriété des médias commerciaux est telle, qu’il s’agit d’une situation « d’hégémonie culturelle », c’est-à-dire où une vision dominante peut s’imposer dans tous les médias de masse à la fois. Dans ce contexte, les médias alternatifs sont d’autant plus un contre-pouvoir crucial.
« La presse alternative au Québec est increvable »
Il n’y aurait pas lieu de se décourager vu la naissance de plusieurs mouvements sociaux, dont le mouvement altermondialiste. Aussi, M. Mouterde décrit la presse alternative comme étant increvable, créative et dynamique. Elle est néanmoins très artisanale ou amateure et le plus souvent locale. Il offre toutefois des exemples de médias alternatifs d’envergure nationale et prolifique : L’Aut’Journal, alternAtives, À bâbord !, Le Couac, Presse-toi à gauche ! et l’ancien CMAQ (lire : dans les premières années, il y avait des reporteur.es indépendants liés au CMAQ).
Des lacunes et des préjugés
Robin Couture, du journal communautaire Droit de parole, constate des préjugés envers les médias alternatifs, selon lesquels ces derniers seraient surtout des instruments de communication plutôt que d’information, donc de propagande pour des organismes, incluant des partis politiques. Il estime qu’il s’agit en effet de médias de communication, plutôt que d’information formelle, mais dont la nature même se veut démocratique, tant de par son organisation interne que ses appels à la mobilisation citoyenne. De plus, les médias de masse jouent tellement le rôle passif de courroie de transmission des informations institutionnelles, que les autres médias ont de facto un sens et une importance.
Sans le sou et gratuit
M. Couture, à l’instar des autres participant.es, fait remarquer l’aspect très bénévole des médias non commerciaux. Certains estiment que la situation est excessive et que les bénévoles portent sur leurs épaules une lutte de survie intenable. Pour sa part, Jean-Simon Gagné dénonce le fait que les gens sont tellement habitués à tout avoir gratuitement sur Internet, qu’elles ne sont pas prêts à payer pour l’information ; un état de fait qu’il surnomme « la culture de la gratuité ». En effet, combien des personnes offrent même un maigre 5 $ par année pour un média alternatif ou communautaire gratuit ?
Suggestions critiques aux médias alternatifs
Les participant.es, en particulier Emmanuel Martinez (Alternatives), ont formulé les recommandations suivantes pour les médias alternatifs : couvrir davantage les actions et groupes citoyens hors des réseaux militants et tenter de faire plus de journalisme d’information et un peu moins de « pamphlets militants ».
Une participante fait remarquer que les radios communautaires sont les médias alternatifs les plus participatifs —où il se fait beaucoup d’apprentissages— et rejoignant un grand nombre de citoyen.nes.
Pistes d’action :
entraide, coopération et collectivisation de ressources
La stratégie de base, parfois appliquée, est de créer une synergie entre les médias alternatifs, qui se fait simplement par la promotion réciproque des autres médias alliés.* Essentiellement, il s’agit d’éviter tout esprit de compétition ou défensif entre les médias alternatifs.
M. Mouterde suggère toutefois d’améliorer les portails nationaux vers les divers médias et, si possible, de créer un grand média pluraliste, national, de grande diffusion, qui serait au service des médias alternatifs du Québec.
Certains se demandent s’il ne serait pas possible d’être publicisés dans les journaux des centrales syndicales.
Vu le manque extrême de ressources financières pour payer les artisans, oeuvrant parfois bénévolement à temps pleins, la question de la publicité doit être abordée. Des participant.es estiment qu’il faudrait envisager l’idée de collectiviser certaines ressources et moyens de financement. Par exemple, des médias alternatifs pourraient se doter d’un bureau commun voué à la recherche de clients pour la publicité, etc.
Un engagement à la recherche de la vérité
Jean-Simon Gagné estime que le journalisme doit être un engagement à la recherche de la vérité, plutôt qu’un simple emploi, où l’on sert de courroie de transmission des informations institutionnelles. Les journalistes au Québec, qui insistent pour dire ce qui leur semble véridique, peuvent subir censure, intimidation, suspension, harcèlement, etc. Concrètement, permettez-nous d’ajouter que leurs chances d’être employés sont extrêmement faibles et, au mieux, leurs articles seront achetés à la pièce à titre de pigistes.
Quelle capacité de communication de masse possède le « journalisme démocratique » et indépendant d’aujourd’hui ?
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- Michaël Lessard, 16 mai 2008.
Journaliste indépendant,
membre du Centre des médias alternatifs du Québec (cmaq.net)
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Liberté et droits d’auteur :
Les médias ou sites gratuits ou communautaires peuvent librement et gratuitement utiliser le contenu pourvu que le nom de l’auteur soit mentionné. Les médias ou sites non gratuits ni communautaires doivent obtenir la permission de Michaël Lessard : 418-254-6448.
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Activités en continu
Émissions de radio alternatives à Québec (mai 2020)
PING! Formation EN LIGNE gratuite à Internet
Nouveau : les ateliers-formations sont désormais en ligne ! Elles sont donc disponibles à distance.
L'annonce | Info: Alizé Taquoi
alize.taquoi communautique.quebec / 514-660-4600
La CDEC de Québec est fière d'être associée à Communautique pour offrir des formations gratuites pour contribuer à l'amélioration des compétences numériques (Internet) des personnes en situation de pauvreté et des personnes âgées.
- Il y a six modules, que vous pouvez suivre dans n'importe lequel ordre.
- Fonctionnement d'un ordinateur
- Recherche sur le Internet et souces fiables
- Utilisation du courriel
- Effectuer des transactions en ligne et protéger son identité
- Médias sociaux
- Utiliser les services en ligne, dont les services gouvernementaux.
Ateliers grands publics - Métiers d’art pour tous/toutes à Québec
Située au cœur du dynamique quartier Saint-Roch, la Maison des métiers d'art de Québec offre des ateliers grand public animés par des artisans-créateurs professionnels, dans un contexte de formation favorisant une pédagogie individualisée. Les locaux de la MMAQ sont vastes et dotés d'équipements spécialisés.
Plus de 30 ateliers, dont céramique, sculpture, textile, dessin, etc. !
- Les ateliers durent entre 6 et 30 heures et le coût varie entre 98 et 265 $, que vous pouvez payer en deux versements. Toutes les inscriptions se font en ligne (ne pas confondre avec paiement) dans l'article de l'atelier sur le site de la MMAQ.
Savoir.tv - Tant de choses à découvrir gratuitement
Un grand nombre de vidéos de qualité, sur divers sujets sont à votre disposition gratuitement sur le site savoir.tv. Les sujets sont variés : divers enjeux démocratiques, environnement, histoire, l'inclusion des personnes différentes, santé, sciences en tout genre, solidarité et coopération internationales, etc.
Le Savoir.TV est un organisme sans but lucratif dédiée à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances et de témoigner de l'effervescence des milieux de création du savoir.
Recommandé par le CESIQ.
Ateliers et services gratuits dans Vanier et Duberger (45ans+)
À tous les mois, pour les personnes de 45 ans et plus, il y a plusieurs ateliers/rencontres sur divers thèmes organisés par la Fraternité de Vanier, ainsi que des services utiles dont notamment des repas chauds à domicile (! 5.5 $) et un transport pour vos rendez-vous médicaux (il faut contribuer au coût de l'essence seulement) !
Exemples de thèmes des rencontres : les Neurones grises à la Bibliothèque Duberger, la cuisine, les émotions et le rire, etc.
Site ou appelez 418-683-2400 / fraternitedevanier videotron.ca
SPOT : clinique itinérante
SPOT est une clinique à l'intention des personnes marginalisées et de celles en situation de vulnérabilité sociosanitaire, non rejointes par l'offre de soins et services. Il y a aussi un point de services au YWCA Québec dédié à la santé des femmes (incluant trans et queer) depuis 2019. En plus d'offrir des soins et services adaptés, permettra de former, dans un contexte de collaboration interdisciplinaire, une relève professionnelle sensibilisée aux enjeux sociaux et aux besoins de santé de cette clientèle.
Elle est le fruit d'une grande collaboration des intervenant-es de terrain, universitaires, étudiant-es et des services de santé de la Capitale.
www.cliniquespot.org ou 418-803-3398
Comité CPU3S : un lieu d'entraide et de partage des expériences qui organise des sorties pour tous/toutes. Contact - Simon Vermette : pairaidant cliniquespot.org
Comité SPOT UL (université Laval) : voir leurs activités sur Facebook
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