Afghanistan, Journée d'actions: position pour le retrait des troupes

À Québec, le 28 octobre 2006 :
Journée d'actions pour le retrait des troupes canadiennes de l'Afghanistan


Voici le discours au nom du Réseau du Forum social de Québec Chaudière-Appalaches,
donné par Michaël Lessard à Québec, au Carré d'Youville.

L'action à Québec était organisée par la Coalition de Québec pour la paix ( www.coalitionsquebec.org ). Cette journée d'actions était un appel conjoint de l'Alliance canadienne pour la paix ( www.acp-cpa.ca ) et du collectif Échec à la guerre ( www.echecalaguerre.org ).

De plus, le RéseauFS-QCA est signataire de l'OPÉRATION «APPEL PUBLIC» du collectif Échec à la guerre, publié le 25 oct 2006 dans Le Devoir et Métro, 26 oct 2006 dans Mirror.



En fait, vu la température exécrable, M. Lessard s'est contenté de prononcer les trois premiers paragraphes du discours ci-dessous.

Comme le nom le dit, nous mettons en réseau, en communication, des personnes et groupes progressistes. Donc des gens qui souhaitent plus de solidarité locale et mondiale et un respect réel des droits humains, dans leur ensemble, de nos frères et soeurs ici et ailleurs. Et, justement, parlant de droits humains, croyez-vous que l'OTAN intervient vraiment quand des seigneurs de guerre élus, du gouvernement afghan actuel, assassinent, terrorisent ou violent? Selon Malalai Joya, la députée afghane qui est venue nous visiter à Québec en septembre [1], l'OTAN n'intervient pas et les seigneurs de guerre s'en tirent.



On sait aussi que les membres de l'OTAN n'ont pas comme priorité financière que les gens en Afghanistan soient en santé, car leur priorité est plutôt la force militaire qui, étrangement, finance nos propres entreprises de l'armement et non les gens en Afghanistan!



Pour amener la paix, en Irak, en Afghanistan ou ailleurs, il faut le règne du droit et de la justice, le règne de procès justes et équitables, le règne d'un véritable respect des droits humains. Ce n'est certainement pas par une approche d'extermination des gens qui ne pensent pas comme nous. Ce qui règne actuellement, vous le savez, c'est la doctrine militaire de l'administration Bush, soit l'absence de justice ou le règne du plus fort. Au nom de nos frères et soeurs qui militent pour les droits et libertés aux États-Unis, il faut dire que c'est antiaméricain d'appuyer la doctrine de Bush et ses violations des droits fondamentaux! Il n'y a rien de démocratique, et encore moins de chrétien, dans cette doctrine et elle n'est pas américaine non plus!



D'ailleurs, permettez-moi une parenthèse pour votre information. Les plus grands bailleurs de fonds pour les élections de Bush en 2004 étaient Kraft/Philip Morris, Esso/Exxon Mobil, Chevron/Texaco, Pepsi et Coca-Cola, et McDonalds [2]. Je vous dis cela simplement pour votre information. Personnellement, je boycotte au moins ces entreprises.



Au nom du réseau, je dois mentionner que M. Harper a coupé un milliard dans les groupes de femmes, les groupes d'alphabétisation et de défense des minorités linguistiques. Des groupes du Québec seront touchés. Il donne par contre un milliard aux pétrolières. Avec tout ça, nous sommes supposés croire qu'il dépense des milliards dans l'armée pour aider les femmes et les enfants en Afghanistan? La vérité, vous le savez, les gouvernements de ce monde investissent plus de 1000 milliards dans leur armée, alors qu'une petite partie de ce montant pourrait nourrir tous les affamés de la Terre.



C'est pourquoi le Réseau du Forum social de Québec Chaudière-Appalaches demande que l'armée cesse de faire de l'humanitaire ou du développement à la place des groupes civils. Si Harper et compagnie étaient sincères, les milliards iraient aux gens, à celles et ceux qui vont construire la paix en Afghanistan.





Références :



1 - Discours de Malalai Joya (députée afghane) à Québec, le 9 septembre 2006.

www.npd.ca/page/4329



Defense Committee for Malalai Joya

www.malalaijoya.com



2 - Source: www.opensecrets.org




Porte-parole du RéseauFS-QCA pour cette action:

Michaël Lessard: (418) 254-6448 poste 225 / bulletin /arobas/ reseauforum.org

www.reseauforum.org



Porte-parole pour la Coalition de Québec pour la paix pour cette action:
Sébastien Bouchard [numéro personnel retiré de l'Internet]

www.coalitionsquebec.org

Mises à jour

Le retrait immédiat d’Afghanistan :

Le retrait immédiat d’Afghanistan :
Pourquoi?

L’auteur, Normand Beaudet est membre fondateur du Centre de ressources sur la non-violence et représentant de l’organisme au collectif Échec à la guerre.

La récente mission en Afghanistan et le récent éditorial d’André Pratte offrent l’occasion de réfléchir sérieusement sur le rôle du Canada dans le monde, sa politique extérieure et sa politique de défense. Ce sont trois enjeux qui doivent être soigneusement imbriqués et questionnent profondément le maintien de la mission.

1- Politique américaine : La mission canadienne en Afghanistan est conduite dans le cadre global d’une politique américaine offensive, qui a pour but de contenir les influences russes et iraniennes dans la région. La stratégie ressemble de plus en plus à un encerclement géographique de l’Iran dans le but de plus en plus évident d’appliquer une tactique d’étouffement économique de l’ennemie numéro un de l’occident. Tout ceci n’a, bien sûr, rien à voir avec le bien-être de la population afghane.

2- Environnement explosif : Cette mission, dangereuse, s’effectue dans un environnement régional impliquant de nombreuses ethnies, qui se disputent depuis des décennies des espaces territoriaux dont la richesse varie. Ces confrontations ont été attisées, directement ou indirectement par plusieurs puissances régionales (la Chine, le Pakistan, l’Iran, les « istans » de l’ex-URSS et, moins directement, l’Inde) qui ont chacune des affinités ou des animosités historique et culturelles avec les groupes en présence. Qu’on le veuille ou non, une solution politique durable en Afghanistan passe par la coexistence qui impliquera les représentants des 42 % de Pashtoune, dont les allégeances vont souvent vers le radicalisme islamiste des talibans. Ceci restera vrai à moins qu’un génocide ne soit envisagé? En bout de ligne, ne pas oublier que ces alliés d’hier, que nous avons armés, sont maintenant nos ennemis.

3- Terreau de l’extrémisme : La teneur offensive de la mission, dictée par la politique américaine d’éradication du pavot, nourri présentement les différentes factions radicales dans la région. Les talibans ne sont pas les seuls fanatiques à profiter du commerce de l’opium meurtrier, comme on tente de nous le faire croire, plusieurs extrémistes en profitent. Tout indique que la chasse au taliban, pour espérer un succès, doive se poursuivre en territoire pakistanais. Une réalité qui déstabilise présentement le gouvernement en place. Ce bourbier politique devient un véritable terreau fertile pour le recrutement étendu et la mobilisation massive contre les forces internationales. Présentes depuis déjà 5 ans dans la région, elles sont de plus en plus perçues comme des forces occidentales d’occupation.

4- Engagement des alliés peu probable : Les militaires canadiens œuvrent dans ce contexte général et dans celui d’une opération multilatérale qui repose sur l’engagement actif, et peu probable, des alliés. Plusieurs pays européens se sont engagé dans la mission dans un geste de solidarité suite aux attentats du 11 septembre 2001. C’est aussi ce contexte qui a mené à la persuasion de l’ONU. L’expérience de l’Irak en faisant foi, il semble très peu probable que les pays européens s’implique beaucoup plus. Qui peut croire que les membres de l’OTAN, accepteront de prêter au commandant suprême des forces alliés, un général qui a toujours été américain, des troupes qui serviraient à poursuivre une telle mission militaire offensive? La hantise coloniale est encore bien présente dans plusieurs pays, le colonialisme moderne n’a pas bonne presse en Europe.

5- Sérieuse hypothèque sur les rôles futures du Canada : Plus la mission offensive se prolonge, plus on hypothèque les possibilités d’un rôle constructif du Canada dans la région. L’expertise canadienne développée pendant des décennies dans le cadre de missions multilatérales de maintien de la paix, tant du point de vue diplomatique que militaire, s’avèrera inutile. Cette expertise développée au prix de vies humaines et à grands frais aurait pu s’avérer indispensables dans le cas d’une stabilisation ultérieure de la région. Le Canada s’est positionné comme un des belligérants actifs dans le conflit et, par le fait même, s’est complètement discrédité pour d’éventuelles missions futures dans le pays. Si cette politique se poursuit, il en sera de même pour toute la région. Une approche qui devrait être évité dans le future. Les besoins à entrevoir dans la stabilisation sont énormes.

6- Une option politique insoutenable : Cette mission fait partie d’une politique militariste à courte vue, mise en œuvre par un gouvernement minoritaire, et qui n’a été l’objet d’aucune consultation publique et d’aucun débat politique de fond. La façade multilatérale de l’opération acquise à l’ONU grâce au capital de sympathie des américain suite au 11 septembre 2001, qui se matérialise par le biais de l’OTAN à cause de sa structure de soutien à un membre agressé semble présentement, dans la pratique, s’éroder. Les justifications d’un rôle actif du Canada dans une telle mission en vue d’une politique extérieure et militaire réaliste cohérente, soutenue par les canadiens s’amenuisent de jour en jour.

7- L’avenir dans la prévention : Tout indique qu’une future politique canadienne, cohérente avec la tradition du maintien de la paix du pays, et adaptée à la nouvelle réalité d’après guerre froide devrait s’orienter vers la détection avancée, et la prévention des conflits internationaux et des génocides. Le Canada est une puissance économique secondaire et géographiquement isolée. Il ne peut se permettre qu’un rôle limité sur la scène mondiale. Ce rôle ne peut qu’être non-offensif et très spécialisé. Les assises d’une politique internationale de prévention des conflits internationaux se situent au niveau de la détection avancée, de l’alerte internationale, de l’intervention civile professionnelle, de la diplomatie préventive et de la mise en œuvre de sanctions diverses (politique, économique et social) visant les élites belliqueuses et les combattants. La mise en oeuvre d’une véritable stratégie de prévention des conflits internationaux demande, non-pas l’intervention de militaires, mais celui d’une expertise professionnelle sociale, légale, politique et de communication de haut niveau. La mission actuelle est nuisible à la mise en œuvre d’éventuelles actions de prévention des conflits internationaux et aux perspectives d’engagement à long terme du Canada.

8- L’armée un dernier recours : Aucun militaire n’aime risquer de se faire tuer. Ceux qui ont accepté de s’enrôler dans les forces canadiennes, et qui sont mobilisés, doivent avoir la certitude que c’est pour le bien de la nation. Le rôle des politiciens lorsqu’ils osent demander la sacrifice suprême « d’aller tuer ou de se faire tuer » pour le pays, est de prouver hors de tout doute raisonnable que le recours aux militaire est indispensable. Le recours à la force militaire est un dernier recours qui n’est véritablement utile que lorsque tous les autres moyens non-militaires ont été utilisés et ont faillis. C’est uniquement dans un tel contexte que, dans le cadre d’une politique canadienne de prévention des conflits internationaux, la population canadienne pourrait accepter le recours aux armes. La mission offensive actuelle n’a pas démontrée qu’elle était la voie pour améliorer le sort des populations afghane, doit se camoufler derrière une façade de reconstruction et ne laisse pas entrevoir de résultats plausibles. Est-ce un contexte qui se prête à l’envoi de jeunes militaires?

9- Alignement contre productif : La politique militaire conservatrice que le gouvernement actuelle tente de mettre en opération est coûteuse, nuisible et dangereuse. L’intervention rapide, dans toutes les régions du globe, par des forces militaires offensives est une voie d’intervention militaire économiquement insoutenable pour un pays comme le Canada. Choisir la voie de l’appui à des interventions politiques offensives, même justifiées par la guerre au terrorisme, aligne automatiquement le pays du côté du pouvoir économique mondial et empêchera le Canada de jouer un rôle politique constructif dans la résolution de futures conflits internationaux. Encore pire, en s’alignant ainsi, le Canada devient automatiquement l’ennemi des plus désespérés, les terroristes. L’achat d’équipements militaires offensifs sera inévitablement suivi d’un accroissement exponentiel des dépenses en équipements de sécurité intérieure, policiers et en engins de surveillance de tout acabits. Le recours à la violence attise les haines, nourrit les peurs et génère à leur tour violence, haines et peurs. Le Canada par son action nourrit présentement ce cycle infernal.

10- Défense des droits des afghans? Le traitement digne des prisonniers afghan, est la plus importante reconnaissance que le gouvernement canadien puisse offrir à ses combattants. Les conventions internationales sur le traitement humain des prisonniers de guerre ont été établies pour protéger les combattants. Si le gouvernement veut prévenir les abus face à d’éventuels prisonniers canadiens, il se doit de pouvoir montrer pattes blanche face aux prisonniers qu’il a fait. En transférant les prisonniers taliban aux autorités afghane, et en résistant à l’idée de s’assurer d’un traitement digne des ces prisonniers, le gouvernement a montré son peu de souci pour les droits de la personnes. Mais encore pire, il a négligé la sécurité d’éventuels soldats canadiens qui seraient détenus par les talibans. En ce sens, si le Canada avait la moindre compréhension de ce veulent dire les traités internationaux sur les droits des prisonniers, il aurait exigé depuis longtemps la fermeture de la base de Guantanamo Bay. Cette prison illégale est un exemple patent de non-respect des droits des prisonniers combattants. Comment dans ce contexte a-t-on pu engager les militaires canadiens en campagne militaire auprès des américains? Qui peut encore croire que nous sommes en Afghanistan pour améliorer les droits de la population?

Le maintien des troupes canadiennes en Afghanistan a toutes les caractéristiques d’une action purement idéologique et d’une séquence de gestes politique opportuniste initié par les libéraux, envenimé par ces mêmes libéraux et confirmé par le gouvernement Harper. Ces actions politiques ont été initiées pour répondre à des impératifs autres que le meilleur intérêt de la population afghane, des canadiens et du pays. En ce sens la position des organismes qui demande le retrait immédiat des troupes semble l’option politique la plus sensée et responsable.

Activités en continu

Émissions de radio alternatives à Québec (mai 2020)

Un i avec des ondes arrondies sur son côté gauche et droite. Il s'agit en fait du logo du réseau Indymedia, mais avec un style bleuté et dégradé élégant   Nous vous offrons une grille horaire des émissions qui abordent divers enjeux sur les ondes radios communautaires de CKIA (88,3 FM), CKRL (89,1 FM) et CHYZ (94,3 FM).  Nous souhaitons donner plus de visibilité aux émissions radiophoniques indépendantes ayant un caractère engagé ou même progressiste. »»»

PING! Formation EN LIGNE gratuite à Internet

Affiche : un côté gris pâle, à travers lequel on discerne un clavier floue. « PING ! »  Nommes les sujets des modules (voir l'annonce ici). Logo du gouvernement du Québec qui appuie.Nouveau : les ateliers-formations sont désormais en ligne !  Elles sont donc disponibles à distance.
L'annonce | Info: Alizé Taquoi
alize.taquoi /arobas/ communautique.quebec / 514-660-4600  

  La CDEC de Québec est fière d'être associée à Communautique pour offrir des formations gratuites pour contribuer à l'amélioration des compétences numériques (Internet) des personnes en situation de pauvreté et des personnes âgées. 

    • Il y a six modules, que vous pouvez suivre dans n'importe lequel ordre
      • Fonctionnement d'un ordinateur 
      • Recherche sur le Internet et souces fiables
      • Utilisation du courriel
      • Effectuer des transactions en ligne et protéger son identité
      • Médias sociaux
      • Utiliser les services en ligne, dont les services gouvernementaux.

Ateliers grands publics - Métiers d’art pour tous/toutes à Québec

   Située au cœur du dynamique quartier Saint-Roch, la Maison des métiers d'art de Québec offre des ateliers grand public animés par des artisans-créateurs professionnels, dans un contexte de formation favorisant une pédagogie individualisée.  Les locaux de la MMAQ sont vastes et dotés d'équipements spécialisés. 

Plus de 30 ateliers, dont céramique, sculpture, textile, dessin, etc. !

  • Les ateliers durent entre 6 et 30 heures et le coût varie entre 98 et 265 $, que vous pouvez payer en deux versements.  Toutes les inscriptions se font en ligne (ne pas confondre avec paiement) dans l'article de l'atelier sur le site de la MMAQ.

Savoir.tv - Tant de choses à découvrir gratuitement

    Un grand nombre de vidéos de qualité, sur divers sujets sont à votre disposition gratuitement sur le site savoir.tv.  Les sujets sont variés : divers enjeux démocratiques, environnement, histoire, l'inclusion des personnes différentes, santé, sciences en tout genre, solidarité et coopération internationales, etc.

Le Savoir.TV est un organisme sans but lucratif dédiée à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances et de témoigner de l'effervescence des milieux de création du savoir.

Logo de l'émission Planète Terre : un globe terrestre sur un fond de nuages cosmiques bleu vaporeux. Les continents sont blancs. Recommandé par le CESIQ.

Ateliers et services gratuits dans Vanier et Duberger (45ans+)

Logo : dessin d'un phare maritime.   À tous les mois, pour les personnes de 45 ans et plus, il y a plusieurs ateliers/rencontres sur divers thèmes organisés par la Fraternité de Vanier, ainsi que des services utiles dont notamment des repas chauds à domicile (! 5.5 $) et un transport pour vos rendez-vous médicaux (il faut contribuer au coût de l'essence seulement) !

Exemples de thèmes des rencontres : les Neurones grises à la Bibliothèque Duberger, la cuisine, les émotions et le rire, etc.

Site ou appelez 418-683-2400 / fraternitedevanier /arobas/ videotron.ca

SPOT : clinique itinérante

Logo: le O et le T ont un rond, comme une tête de personnages. Clinique communautaire de santé et d'enseignement.   SPOT est une clinique à l'intention des personnes marginalisées et de celles en situation de vulnérabilité sociosanitaire, non rejointes par l'offre de soins et services.  Il y a aussi un point de services au YWCA Québec dédié à la santé des femmes (incluant trans et queer) depuis 2019.  En plus d'offrir des soins et services adaptés, permettra de former, dans un contexte de collaboration interdisciplinaire, une relève professionnelle sensibilisée aux enjeux sociaux et aux besoins de santé de cette clientèle. 

   Elle est le fruit d'une grande collaboration des intervenant-es de terrain, universitaires, étudiant-es et des services de santé de la Capitale.

 www.cliniquespot.org ou 418-803-3398

 

Comité CPU3S : un lieu d'entraide et de partage des expériences qui organise des sorties pour tous/toutes. Contact - Simon Vermette : pairaidant /arobas/ cliniquespot.org

Comité SPOT UL (université Laval) : voir leurs activités sur Facebook

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Pour les expositions et les activités artistiques,
nous recommandons l'agenda offert par la Ville de Québec
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