Nous vous offrons une grille horaire des émissions qui abordent divers enjeux sur les ondes radios communautaires de CKIA (88,3 FM), CKRL (89,1 FM) et CHYZ (94,3 FM). Nous souhaitons donner plus de visibilité aux émissions radiophoniques indépendantes ayant un caractère engagé ou même progressiste.
conf-débat: L’hypersexualisation des jeunes filles
Cet événement est passé. Il s'agit d'une année antérieure.
Date:
vendredi 16 septembre 2005 - 19:00
Musée de la civilisation, Auditorium 1: 85 rue Dalhousie
CONFÉRENCE-DÉBAT
« L’hypersexualisation des jeunes filles »
Avec Jocelyne Robert, sexologue et auteure.
L’érotisation de l’enfance, la trop grande facilité d’accès à des produits pornographiques, le retour à de vieux stéréotypes sexistes, la vulnérabilisation des filles à plusieurs manifestations de violence sont quelques-uns des enjeux de ce phénomène. La question sera abordée d’un point de vue féministe. Sommes-nous devant une nouvelle forme d’oppression des filles? Comment pouvons-nous réagir?
La sexologue bien connue, Jocelyne Robert, présentera le fruit de ses recherches sur le sujet. Une jeune fille de 14 ans, Léa Clermont-Dion, livrera ses réflexions. La journaliste Dominique Payette animera le débat qui suivra.
Entrée libre, contribution volontaire
- Présenté par la Fédération des femmes du Québec.
Pour information : info ffq.qc.ca ou (514) 876-0166
www.mcq.org/fr/mcq/actcul.html
Régions:
Activités en continu
Émissions de radio alternatives à Québec (mai 2020)
PING! Formation EN LIGNE gratuite à Internet
Nouveau : les ateliers-formations sont désormais en ligne ! Elles sont donc disponibles à distance.
L'annonce | Info: Alizé Taquoi
alize.taquoi communautique.quebec / 514-660-4600
La CDEC de Québec est fière d'être associée à Communautique pour offrir des formations gratuites pour contribuer à l'amélioration des compétences numériques (Internet) des personnes en situation de pauvreté et des personnes âgées.
- Il y a six modules, que vous pouvez suivre dans n'importe lequel ordre.
- Fonctionnement d'un ordinateur
- Recherche sur le Internet et souces fiables
- Utilisation du courriel
- Effectuer des transactions en ligne et protéger son identité
- Médias sociaux
- Utiliser les services en ligne, dont les services gouvernementaux.
Ateliers grands publics - Métiers d’art pour tous/toutes à Québec
Située au cœur du dynamique quartier Saint-Roch, la Maison des métiers d'art de Québec offre des ateliers grand public animés par des artisans-créateurs professionnels, dans un contexte de formation favorisant une pédagogie individualisée. Les locaux de la MMAQ sont vastes et dotés d'équipements spécialisés.
Plus de 30 ateliers, dont céramique, sculpture, textile, dessin, etc. !
- Les ateliers durent entre 6 et 30 heures et le coût varie entre 98 et 265 $, que vous pouvez payer en deux versements. Toutes les inscriptions se font en ligne (ne pas confondre avec paiement) dans l'article de l'atelier sur le site de la MMAQ.
Savoir.tv - Tant de choses à découvrir gratuitement
Un grand nombre de vidéos de qualité, sur divers sujets sont à votre disposition gratuitement sur le site savoir.tv. Les sujets sont variés : divers enjeux démocratiques, environnement, histoire, l'inclusion des personnes différentes, santé, sciences en tout genre, solidarité et coopération internationales, etc.
Le Savoir.TV est un organisme sans but lucratif dédiée à la diffusion et à la vulgarisation des connaissances et de témoigner de l'effervescence des milieux de création du savoir.
Recommandé par le CESIQ.
Ateliers et services gratuits dans Vanier et Duberger (45ans+)
À tous les mois, pour les personnes de 45 ans et plus, il y a plusieurs ateliers/rencontres sur divers thèmes organisés par la Fraternité de Vanier, ainsi que des services utiles dont notamment des repas chauds à domicile (! 5.5 $) et un transport pour vos rendez-vous médicaux (il faut contribuer au coût de l'essence seulement) !
Exemples de thèmes des rencontres : les Neurones grises à la Bibliothèque Duberger, la cuisine, les émotions et le rire, etc.
Site ou appelez 418-683-2400 / fraternitedevanier videotron.ca
SPOT : clinique itinérante
SPOT est une clinique à l'intention des personnes marginalisées et de celles en situation de vulnérabilité sociosanitaire, non rejointes par l'offre de soins et services. Il y a aussi un point de services au YWCA Québec dédié à la santé des femmes (incluant trans et queer) depuis 2019. En plus d'offrir des soins et services adaptés, permettra de former, dans un contexte de collaboration interdisciplinaire, une relève professionnelle sensibilisée aux enjeux sociaux et aux besoins de santé de cette clientèle.
Elle est le fruit d'une grande collaboration des intervenant-es de terrain, universitaires, étudiant-es et des services de santé de la Capitale.
www.cliniquespot.org ou 418-803-3398
Comité CPU3S : un lieu d'entraide et de partage des expériences qui organise des sorties pour tous/toutes. Contact - Simon Vermette : pairaidant cliniquespot.org
Comité SPOT UL (université Laval) : voir leurs activités sur Facebook
Conseil de quartier ou comité citoyen !
Expositions ...
Pour les expositions et les activités artistiques,
nous recommandons l'agenda offert par la Ville de Québec
et le média Quoi faire à Quebec
Voir aussi notre section Médias alternatifs.
Mises à jour
Webmestre
lun 11 juin 2007 - 20:05
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Erreur profonde à mon avis
Sincèrement, et je le dis en toute gentillesse, c'est une erreur importante ou profonde de dire "ce que les agresseurs recherchent ce n'est qu'une bonne baisse pour calmer leur ardeur". À moins que tu faisais du sarcasme. Je m'explique un peu...
Un homme ou une femme ayant de forts désirs sexuels, ce qui arrive à presque tout le monde d'ailleurs ;o), ne va pas violer ni agresser la personne qu'elle désire. Dans les bars, il y a des tonnes de gens, de toutes sortes, qui cherchent l'aventure, une baise, de la tendresse aussi, et même l'amour :o) Très sérieusement, une personne qui est en manque sévère de sexualité ou de baise peut en trouver sans violence.
Ce n'est aucunement les désirs sexuels en soi qui causent les viols ou les agressions. Comme dans les divers problèmes de violence chez l'espèce humaine, ça commence par une attitude égocentrique (la seule chose qui compte c'est toi-même) qui bloque l'empathie et la compassion (tu ne veux pas ou ne peux pas t'imaginer à la place de l'autre).
Autrement dit, quand une personne ne peut plus ou ne veut plus ressentir de compassion pour le vécu de l'autre, elle risque d'être plus agressive ou violente. Quelque chose bloque l'empathie: cette chose peut être la colère, l'humiliation, la peur, etc.
À mon avis, la cause profonde de la violence, c'est la peur au sens large (c'est discutable, mais c'est assez souvent la racine du mal).
Michaël Lessard, webmestre du RéseauFS.
www.reseauforum.org/contact.htm
Anonyme (non vérifié)
dim 21 janv. 2007 - 19:09
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recherche aussi
Je suis parfaitement d'accord avec toi, je suis ent train de faire une recherche sur l'hypersexualisation des jeunes et je suis surpris de ce que j'ai appris a date comme des filles de sixieme anné qui offrait des pipes a l'arriere des autobus scolaire. Moi j'ai 16 ans et je suis au secondaire chaque jour je vois des filles avec leurs G-string qui dépasse de leurs pantalons a taille basse, je veux c'est dur d'être un garcon et de se concentrer sur ses études dans de tels conditions.
Anonyme (non vérifié)
lun 18 janv. 2010 - 19:27
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parfaitement
Je suis etudiante au secondaire,jai 16 ans.Je suis tout a fait daccord avec le fait que les filles de mon age en montre trop et que ça doit etre penible pour les gars den voir se tremousser.Personellement,je trouve que les fille exagere beaucoup.
Anonyme (non vérifié)
lun 14 avril 2008 - 15:25
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L'hypersexualisation
je suis en train de faire un oral sur l'hypersexualisation et oui c'est un débat et j'aimerais avoir des informations ou des arguments sur «Être POUR l'hypersexualisation» moi je suis tout à fait contre , mais j'ai comme mission de trouver les arguments pours QUEQU'UN PEUT M'AIDER
nabelle88 hotmail.com
c'est pour jeudi le 17 AVRIL 08
Anonyme (non vérifié)
dim 21 janv. 2007 - 19:02
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Gangsta Rap/Hip-Hop
sa serait vraiment intéressant de parler de sa.
Anonyme (non vérifié)
mer 09 mai 2007 - 15:12
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le chocolat bleu
pourquoi l' hypersexualisation est-elle rendu si jeune, à 8 ans sa commence deja.
Anonyme (non vérifié)
mer 09 mai 2007 - 15:15
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salut
je m'apelle Bob et j'aime beaucoup le chocolat bleu, mais pour ta question je ne sais pas pourquoi c'est rendu si jeune. Peut-être bien acause du monde qui sabille sexy,, avec des string ou même les rapeux, avec leurs pantalon à terre.
Webmestre
ven 08 juin 2007 - 10:34
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magazine À bâbord ! « Dossier : Sexe, école et porno »
À bâbord ! # 20, été 2007
Dossier : Sexe, école et porno
La récente réforme en éducation a délayé le maigre programme d’éducation sexuelle en une vague et nébuleuse « discipline interdisciplinaire » (sic). Enseignants, sexologues et organismes communautaires se rejoignent et s’opposent sur le sens à donner à cette transformation. Faut-il y voir une remise en question de la reconnaissance de l’éducation sexuelle comme droit collectif ? Une occasion forcée d’étendre la contribution des organismes communautaires au développement de projets d’éducation sexuelle épars mais stimulants ? Quoi qu’il en soit, le vide est généreusement comblé par la publicité, les compagnies de contraceptifs, de produits de beauté et d’hygiène et les médias de masse qui abreuvent la population de stéréotypes et de scénarios sexuels objectivants. Serait-ce possible que nous sous-estimions l’impact de l’idéologie néolibérale et du capitalisme sauvage sur notre sexualité ?
Sommaire du dossier
- Le sexe fait vendre, mais que vend-t-il au juste ?, par Nesrine Bessaïh;
- Brève histoire de l'éducation sexuelle, par Anne St-Cerny;
- Aux sources de l’éducation sexuelle, par Joanie Heppell;
- L’éducation sexuelle et la réforme scolaire, par Nathalie Parent;
- Le point de vue des professeurs, par Monika Dunn;
- Une éducation sexuelle détournée par des intérêts commerciaux, par Lilia Goldfarb;
- Cul, corps, cash : une entrevue avec Jocelyne Robert;
- Anxiété, anorexie, dépression: l’hypersexualisation fait des ravages, par Sylvie Pinsonneault;
- Le Projet Sens : une initiative d’éducation sexuelle, par Christina Foisy.
Un dossier coordonné par Nesrine Bessaïh, avec la collaboration de Nathalie Parent et de Sylvie Pinsonneault.
Le # 20 d’À bâbord ! comprend également des textes sur l’itinérance à Montréal, sur la crise de l’UQAM, sur les droits autochtones au Canada, sur la lutte contre l’impunité des meurtriers d’un réfugié en Allemagne, sur le mal-développement au Malawi et bien d’autres sujets.
Source : Claude Rioux, secrétaire de rédaction de la revue À bâbord ! ababord.org>
Anonyme (non vérifié)
mardi 12 juin 2007 - 19:45
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bizarre...
J'ai 13 ans et je fait un projet sur l'hypersexualisation et je trouve sa vraiment bizarre que les filles de mon ages se comporte comme sa et c'est très troublant parce que je me demande parfois si je doit faire comme elle.?
Anonyme (non vérifié)
lun 06 août 2007 - 07:22
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Sommes-nous devant une nouvelle forme d’oppression des filles?
Nouvelle forme d’oppression des filles? Non, l’abus des femmes par une sexualité déviante n’a rien de nouveau, ce qui est nouveau c’est qu’en tant que société nous refusons d’identifier la déviance sous le prétexte d’une libre expression.
La vrais question, ce n’est pas de savoir si cette hypersexualisation des jeunes filles (et des garçons car il ne faut pas se leurrer, les jeunes filles veulent plaire et ce que les garçons ont comme model de l’amour est souvent la pornographie.), les agresses, mais somme nous prêt en tant que société à définir ce qui est un comportement normal et ce qui est un comportement déviant. Ce à quoi nous assistons, c’est un comportement déviant chez nos jeunes qui ne font que reproduire à leur manière NOTRE comportement déviant.
N’allons pas dire que nous ne somme pas déviant parce que nous ne posons pas les gestes qui nous définiraient comme tell. C’est notre refus de parler contre les comportements déviant qui nous rende coupable de déviance. C’est le message que nous donnons à nos enfants, c’est l’héritage que nous leur donnons.
Oui, nous devons faire de l’éducation chez nos jeunes et leur apprendre à ne pas tomber dans le piège de l’hypersexualisation, mais nous devons aussi transformer notre société pour qu’elle soit un peut plus à l’image de ce que l’ont crois que l’être humain, homme ou femme, doit avoir comme respect et dignité. Si nous ne transformons pas notre société, il est certain que l’industrie du sexe la transformera selon son agenda et ce n’est pas le bien de nos jeunes….
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