Table ronde grand public - par le Groupe Québec d'Amnistie internationale. — Yiheh ! Kuei ! Wachiya ! Bienvenue à tous/toutes.  À l'invitation d'Amnistie internationale, des représentants des Premières Nations participeront à une table ronde sur les efforts de sauvegarde et de revitalisation de leurs diverses langues. 

Avec ...

• Arakwa Sioui, enseignante de la langue wendat, étudiante en linguistique à l'Univ. Laval
• Frédéric Flamand, coordonnateur au Centre Miroskamin, Services pédagogiques de la communauté atikamekw
• d'autres possibles à confirmer....

Les langues contribuent à la diversité culturelle du monde et, à ce titre, doivent être protégées.  Or, la majorité des quelque 60 idiomes amérindiens ou inuits parlés au Canada sont considérés vulnérables, voire en danger de disparition.  Partout au pays, des communautés travaillent à préserver ou revitaliser le parler de leurs ancêtres, malmené par des siècles de colonialisme.  Qu'il s'agisse de reconstruire le wendat, entré en dormance, ou d'enseigner l'innu aux écoliers, quels sont les défis à relever ?  Quels projets s'avèrent porteurs d'espoir ?  Comment soutenir les efforts des Premières Nations pour défendre leurs mots, leurs idées, leurs identités ?

Belle occasion d'échanges positifs entre Québécois d'origines diverses, la table ronde réunira Arakwa Siouï, enseignante de la langue wendat à Wendake et étudiante en linguistique à l'université Laval, et Frédéric Flamand, rédacteur au Conseil des Atikamekw de Manawan.  Des représentantes d'autres collectivités pourraient se joindre à la conversation, dont des défenseurs de la langue innue et anishnabe. 

Claudia Borgonovo, professeure titulaire au département de langues, linguistique et traductionde à l'Université Laval, prononcera le mot d'ouverture.

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L'événement se tient dans le cadre des Journées québécoises de solidarité internationale, qui se penchent cette année sur le potentiel transformateur de l'éducation.  Notons que la section canadienne d'Amnistie internationale mène campagne pour la protection des langues autochtones cet automne.  Elle demande à tous les paliers de gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour que ces idiomes demeurent une part intégrante de la culture du pays. 

Amnistie internationale est un mouvement mondial de citoyens qui sʾengagent pour le respect des droits humains. Il est représenté à Québec par un groupe local et plusieurs groupes étudiants.

L'activité se veut un dialogue ouvert et inspirant.

• Gratuit - Bienvenue à tous/toutes !

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